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❗Bunia: Un Danger meurtrier se construit délibérément à Bakongolo

C’est de blaguer ou exposer la vie des femmes exerçant le petit commerce au petit marché de Bakongolo? pourquoi pas celle de leurs clients. Une dangereuse construction d’un nouveau site de marché se construit sous les Câbles électriques Haute tension. Tôt matin de ce jeudi 29 mai 2025, la rédaction de carapacenews.net s’est déployée et rencontrer les femmes marchandes de petit marché de Bakongolo ( Kanyasi). Les mots sortis de leurs bouches font d’énormes douleurs et clairement l’on se demande la qualité de gouvernance que détient le chef dudit quartier et d’autres services étatiques compétents dans la protection des civils et de leurs biens.  » Ici nous sommes préoccupés, il est vrai que nous exerçons le petit commerce des vivres frais et autres pour permettre à couvrir le besoin croissant de la population de Kanyasi pour leur limiter d’effectuer une longue distance. » Précise l’une des femmes marchandes. Et d’ajouter  » malheureusement on nous déloge d’ici pour l’autre endroit en face de nous pour lequel chaque étalage a payé soixante (60) dollars américains. Pire encore cet nouvel site nous fait peur du fait qu’il occupe entièrement le dessous des câbles électriques haute tension et imagine quel sera notre sort lors d’un brisque détachement? L’on veut precipiter notre mort et nos enfants soient des orphelins? Oui nous avons besoin d’un espace pour le marché mais qui repondra aux normes « . Ont ajouté les mamans marchandes. Par ailleurs, l’on se demande pourquoi le chef du quartier Bakongolo s’est il permis recolter par chacun des étalages une telle somme d’argent pour un tel espace d’un risque sans précédent, très restreint et temporaire selon la même source? L’on se demande si les services étatiques comme Aménagement du Territoire doté d’une mission de l’affectation des espaces, les Travaux Publics, Cadastre et L’urbanisme attendent quoi pour arrêter cette anarchie en outrance qui risquera d’amener un irréparable dans un proche avenir. Si alors les services étatiques ne sont pas informé, n’est-ce-pas que le quartier est directement soumis aux ordres de l’autorité communale et celle-ci aux ordres de la Mairie? Attendons voir. Il faut rappeler qu’à Kinshasa une telle légèreté en date du 02 février 2022 en a coûté 26 morts dans un drame causé par le câble électrique haute tension détaché au niveau du petit marché de Matadi Kibala dans la commune Mont-Ngafula. Et dernièrement à Bunia chef-lieu de l’ituri, la non attention des autorités sur un immeuble en construction dans la commune Mbunya au quartier Bankoko s’est soldé à écroulement et en a fait plusieurs morts et des blaissés. Donc le pouvoir public doit agir plutôt possible pour empêcher le pire catastrophe. Flori Drajiro

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Administration, Société

Commune Shari: Ici l’essentiel d’un meeting ténu aujourd’hui à Bembeyi

Il s’est ténu un meeting populaire au rond-point Belgica dans le quartier Bembeyi en commune Shari, ville de Bunia le chef-lieu de l’ituri ce jeudi 29 mai l’an en court par le premier citoyen dudit quartier qui s’est attelé sur un bon nombre des problèmes impliquant cette entité ces derniers jours. Monsieur Moïse Uyergiu a tout d’abord appelé ses administrés à la culture de la paix, de l’unité, de la tolérance et du patriotisme pour redorer l’image de Bembeyi.  » j’en appelle à un vivre ensemble et à la cohésion sociale car j’apprends qu’il y a une mauvaise pratique( empoisonnent) qui veut élur domicile ici… Ça doit immédiatement cesser. Ne cherchez pas à salir l’image de notre quartier  » A martelé devant toutes les couches de population d’un ton fort et ferme ce chef du quartier. Concernant la sécurité Moïse Uyergiu appelle la jeunesse de son entité à doubler la vigilance et à barrer le chemin à l’ennemi de la paix qui n’a que l’objectif de troubler la paix et semer le désordre. Bembyi a toujours été un quartier stable et nous devons tous conjuguer en synergie les efforts pour la paix de manière population-les chefs locaux et les services de sécurité. A-t-il dit. Aspect développement » Nous avons à environ atteint 40% de réussite dans l’approvisionnement d’eau potable mais les besoins sont encore là. Nous savons que notre quartier n’est pas encore totalement désenclaver ici nous appelons une fois de plus les organisations étatiques, privées ou tierce à nous venir en aide. » a-t-il ajouté. Par ailleurs, Moïse Uyergiu se dit très engagé pour accroître les oeuvres de développement dans le quartier Bembeyi pour q’un jour son entité puisse être au même titre que Lumumba, Bigo et Yambi yaya. Mais il donne un alternatif.  » à toute personne qui a une parcelle dans le quartier Bembeyi d’y construire car ici il ya pas des champs. Ceux qui ont déjà construit, placez les gens dans vos maisons car finit la récréation  » a renchérit cette autorité. Notons que le quartier Bembeyi dans la commune Shari, commence petit à petit à prendre un bon visage d’une ville grâce au management de son actuel Chef à sa tête. Flori Drajiro

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Administration, Culture, Humanitaires, Politique, Sécurité, Société

Ituri: L’Administrateur du Territoire de Djugu en mission d’itinerance à Mongwalu

Le Commissaire Supérieur Principal Ruphin Mapela est arrivé à Mongwalu ce mercredi 16 avril 2025 au début de l’après-midi pour la mission de travail et d’itinerance. Accueilli à son arrivée par Sesereki Mandro le bourgmestre de cette commune rurale puis par le commandant du Régiment 3101 de Mongwalu. Un accueil chaleureux de l’autorité a clairement démontré l’importance de la présente itinérance qui a tout de suite commencé par une réunion reistrete du comité de sécurité présidé personnellement par l’administrateur du Territoire au niveau du siège administratif de cette commune rurale. Au coeur de cette première rencontre, Le diplômé des stratégies de défense a décrit sa mission d’itinerance qui a commencé depuis le mardi dernier à Mabanga dans la chefferie des Mambisa et s’en est suivie jusqu’au groupement Dhego à Badjere puis à Dala dans le groupement Londroma et aujourd’hui cette itinérance est arrivé à Mongwalu et va aller jusqu’à quelques entités chaudes du points de vue sécuritaire, humanitaire et administratif dans le secteur de Banyali Kilo A laissé entendre Ruphin Mapela Administrateur du Territoire de Djugu. Alors dans une longue marche, vers Mongwalu, le commissaire supérieur Principal a parcourus plusieurs localités devenues sous peuplées et d’autres totalement vides en secteur de Banyali Kilo suites à l’activisme de groupe armé Codedeco dans la région. Une réalité que l’autorité du Territoire a palpé du doigt et qu’il promis de faire un rapport à la fin de sa mission d’itinerance. Notons que la présente itinérance de Ruphin Mapela est d’une grande importance pour réorienter des nouvelles stratégies réponses aux problèmes que vivent les habitants dans ces coins de Djugu. Flori Drajiro depuis Mungwalu

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Administration, Sécurité, Société

Djugu: L’Administrateur du Territoire attendu à Dhego dans la Chefferie des Bahama Badjere

Le commissaire supérieur Principal Ruphin Mapela après avoir boucler sa mission de quatre jours à Manje et Kpadinga, vient d’annoncer ce samedi 12 avril 2025 une descente au Groupement Dhego dans la chefferie des Bahama Badjere pour une mission officielle et de travail dans les heures qui viennent. cette descente aura double mission dont la première consistera à l’autorité de s’imprégner de la situation sécuritaire, la cohésion sociale et le développement de l’entité tel que prôné par le chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi et à second lieu sa présence sera une belle occasion à remettre le pouvoir à l’ancien chef de ce groupement. par conséquent , l’administrateur du Territoire de Djugu reste déterminé à poursuivre ses missions d’itinerance pouvant lui permettre un rapprochement de ses administrés une stratégie savante dans la gestion d’une cité. Notons qu’après le retour de Dhego, le Diplômé en stratégies des défenses va poursuivre ses missions de travail à Dala ensuite dans certains Groupements du secteur de Banyali Kilo. Flori Drajiro depuis Djugu

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Education, Portrait, Société

Bunia : Monsieur Léon lance un appel à tous les anciens élèves du collège Ujio wa Heri

À l’occasion de la fête patronale du collège saint Joseph Ujio wa heri, monsieur Léon un ancien élève de cette école affectueusement appelée Grand collège a interpellé tous ceux à qui cette école a offert une éducation d’en être reconnaissants. Cet homme devenu cadre d’une organisation aujourd’hui n’est pas du hasard. Il reconnaît l’importance que joue la formation, l’éducation et l’instruction dans la société.  » aujourd’hui, je suis devenu ce que je suis grâce à la formation, éducation reçue au collège saint Joseph. Ça m’a permis d’être discipliné envers moi-même et envers les autres. J’ai appris de la rigueur et le travail bien fait au collège c’est ici l’occasion pour moi d’appeler tous les amis ressortissants de cette école à revenir contribuer le moyen divers pour transformation et la beauté de notre ancienne maison de formation.  » a-t-il dit Léon. À lui d’ajouter  » j’invite mes cadets à se laisser guider par la culture des valeurs éducatives et de ne pas céder aux antivaleur car l’avenir de demain se prépare maintenant » a ajouté cet ancien élève de Ujio wa heri. Signalons que, le même souhait de cet ancien élève a été réitéré par l’abbé Willy Rogatien Kpagi Coordinateur Provincial et Diocésain aux anciens collégiens de réorganiser leur association qui pourrait énormément épauler certains défis et besoins d’ordre infrastructurel et autre de l’école. Tout cela à l’occasion de la célébration de la fête patronale de l’institut Ujio wa heri saint Joseph époux de Marie célébrée chaque année le 19 mars. Flori Drajiro

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Administration, Politique, Sécurité, Société

Bunia: Dans le cadre de mois de la femme, Anuarite Adreza s’engage à prêcher la paix

Dans le cadre du mois de la femme, madame Chef de Division Adreza a poursuivi la sensibilisation pour la paix en Ituri. Pour cette femme leader et fonctionnaire de l’Etat « la paix est un état de concorde entre les membres d’une communauté, d’un Etat. C’est une attitude, un état d’esprit, un mode de comportement, une conduite pacifique, un respect mutuel entre les personnes et un processus decisionnel ou l’homme vit en harmonie avec lui-même, avec la nature et avec les autres pour la construction d’une paix durable dans notre chère Province » A laissé entendre la cheffe de la division provinciale de l’aménagement du territoire. Pour ajouter « les femmes doivent s’autoformer pour leurs autonomisation et manifester la méritocratie proner chez elles pour parler de l’égalité des sexes et vivre le respect de leur droit à t-elle ajouté, et appelle les Ituriens a se lever comme un seul homme à la non violence, conflit ou guerre pour le developpement de l’Ituri ». Signalons que c’est lors d’une rencontre des femmes d’une association locale que, Anuarite Adreza en a saisi l’opportunité de sensibiliser ses semblables à la culture de paix et de l’autonomisation à Hotel Letsuba de Bunia chef-lieu de la province de l’Ituri. Flori Drajiro

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Page noire, Sécurité, Société

Meurtres de 4 civils par un militaire à Bunia : « les jeunes que l’armée appelle pour son soutien se trouvent assassinés par elle-même » Pourquoi la haute trahison ? S’interroge Gentil Kaniki

Alors que les corps des 4 civils lâchement tués par armes de guerre à feu du type Ak47 d’un militaire FARDC incontrôlé traînent encore à la morgue de Bunia, cet acte criminel suscite des nombreuses interrogations dans les couches sociales, politique que tant sécuritaires. Pour le leader Gentil Kaniki la légende de la jeunesse Iturienne et le président honoraire du conseil provincial de la jeunesse, s’est dit profondément attristé par cette tragédie et s’est posé des questions suivantes : À lui d’ajouter  » Nous alertons et appelons encore, les autorités de l’Etat de siège de prouver combien de fois elles sont là pour le bien-être de la population et de leur sécurité et qu’elles ne sont pas complices. Qu’elles agissent et agissent très fort pour mettre fin à ces bassesses et désordres qui gangrènent l’armée de notre pays  » a-t-il poursuivi. De même, l’armée en Ituri par le biais de son porte-parole le lieutenant Jules Ngongo qui n’a pas apprécié cet acte criminel et a affirmé que l’auteur de cet acte sera sévèrement puni conformément à la loi régissant l’armée. Et en a profité d’appeler ses compagnons d’armes à la discipline. Notons que les familles éplorées attendent impatiemment auprès des autorités militaires la sortie officielle du programme de l’enterrement des leurs. Alors que l’auteur d’actes ignobles est déjà aux arrêts en attendant le jugement. Flori Drajiro

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Djugu: La notabilité des Badjere réagit au propos du lieutenant Jules Ngongo

C’est ce dimanche 16 mars 2025 que la notabilité de la chefferie des Bahema Badjere en territoire de Djugu dans la partie Nord-est de république démocratique du Congo a au cœur de sa rencontre réagit au sujet des propos tenus par le porte-parole de l’armée en Ituri sur les ondes de la radio télévision FARDC et est passé en revue les situations générales que traverse ladite chefferie. Dans un document écrit et lu par Raymond Ngaluba président des notables Badjere a constaté carapacenews.net  » […]Le porte-parole des FARDC en Ituri lieutenant Jules Ngongo Tshikudi va se précipiter devant le micro de la Rtfi en disant que ce sont les miliciens Zaïre en provenance de Bule chez les Bahema Badjere qui sont venus s’affronter contre les FARDC à Nyamamba et consorts…. vous les jeunes de Tchomia, ne permettez pas que ces Zaïrois quittent chez eux pour détruire Tchomia… » a-t-on lu carapacenews.net. Dans la suite, la notabilité s’interroge  » qui, a-t-il vu par-là ? Où et quand l’aurait-il soumis à un interrogatoire ? À quel centre pénitentiaire aurait-il interné ces miliciens venus de Bule? Voilà autant de questions que se posent les notables Badjere sur une prétendue implication des jeunes gens de Bule dans un récent affrontement armé dans le littoral du Lac Albert en territoire de Djugu faisant des morts, des Pillages des biens de la population et leur déplacement massif vers d’autres entités. Par ailleurs, cette notabilité réitère son soutien aux institutions légalement établies de la république démocratique du Congo et appelle l’armée à bien communiquer pour éviter d’exposer les entités de Badjere déjà fragilisé aux menaces sécuritaires.  » Nous la communauté Badjere, réitérons nos soutiens indéfectibles aux FARDC et nous n’ entretenons aucun lien avec les miliciens dits Zaïrois et disons que ce genre des propos exposent la population à un autre massacre qui cacherait son nom dans la milice Zaïre à Bule et chercherait à créer la division entre les Badjere et les Banywagi qui demeurent un seul peuple jusqu’à la fin du temps. Ou encore ce serait, coller dans la tête de nos frères Banywagi que leurs entités auraient été déstabilisées par les Badjere! Ceci se qualifie à une incitation à la haine tribale. Ont-ils écrit les notables Badjere. En outre, cette notabilité dévoile qu’elle est aujourd’hui victime des menaces sécuritaires, et autres alors qu’elle a toujours été prête à toutes les initiatives de paix.  » la communauté Badjere s’est toujours montré prête à la paix, à la cohabitation Pacifique, faire la paix avec la communauté Lendu par plusieurs acceptations de toute négociation qui intervient souvent après le massacre de sa population comme preuve, le cas de Lidda, Fataki, Djaiba, Lala par la CODECO en provenance des entités de walendu Djatsi et ont pris d’assaut tous les villages du groupement Lona Lodzikpa, Gali, Dhedja… À cela s’ajoute les menaces verbales du chef du secteur des walendu Djatsi dans toutes les réunions contre notre chef de la chefferie des Bahema Badjere. C’est une façon de se moquer de notre digne représentant de la communauté et sur les âmes des membres de la communauté sauvagement massacrés  » poursuit le document. Qu’est-ce alors la communauté Badjere exige t-il face aux allégations ? Signalons que la communauté de Badjere a haussé le ton après avoir passer à revue sur la situation sécuritaire, humanitaire, sociale et économique qu’affecte la chefferie des Bahema Badjere en territoire de Djugu. Flori Drajiro

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Haut-Uele : Le Directeur Général de la DGRHU Jean Manda, plus que déterminé à maximiser les recettes provinciales

La Direction Générale des Recettes du Haut-Uele (DGRHU), plus que déterminée à mobiliser les recettes du trésor public provincial en 2025. Cette vision rentre dans la ligne droite des principaux piliers du Gouvernement provincial du Haut-Uele, dirigé par le Gouverneur Jean Bakomito Gambu et du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, visant essentiellement à mettre l’homme au centre de tout. C’est le ministre provincial des finances, Jacques Anzatepedanga qui a présidé la cérémonie au nom de l’Autorité provinciale ce vendredi 14 Mars 2025 à la résidence des Gouverneurs des provinces. Dans son mot d’ouverture, le ministre de tutelle a focalisé son message sur la planification des activités fiscales de l’exercice fiscal 2025 pour une mobilisation accrue des recettes avec les différents services d’assiettes du Haut-Uele. Selon lui, cette activité va permettre à la province d’entrer dans sa phase de recouvrement des recettes proprement dites et ce, en vue de booster son développement et sa reconstruction (de la province). Pour l’honorable Jean Manda, Directeur Général de la régie financière du Haut-Uele, il est temps que tous fils et filles de la province puissent mettre la main à la pâte pour pousser la province à aller de l’avant. Il estime cependant qu’avec la volonté politique du Gouverneur Jean Bakomito Gambu et la participation active des opérateurs économiques , considérés comme les premiers partenaires de la région, la province du Haut-Uele pourra aller de l’avant en dépit des difficultés liées notamment aux infrastructures routières dont elle fait face. Dans le même registre, Jean Manda réaffirme l’engagement de la Direction Générale des Recettes du Haut-Uele à accompagner le chef de l’exécutif provincial en vue d’atteindre le paroxysme de la mission assignée, tout en promettant de tout mettre en œuvre pour la maximisation des recettes au profit de la Province du Haut-Uele afin de contribuer à son émergence, a martelé Jean Manda, le patron de la DGRHU/Haut-Uele. Hilaire Kabadunga/Haut-Uele

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Haut-Uele : Le Gouverneur Jean Bakomito remonte le moral de nouvelles recrues au sein des FARDC à Isiro

Le Gouverneur de la province du Haut-Uele, l’Honorable Jean Bakomito Gambu, a effectué une visite ce mardi 11 mars à Isiro, au centre de recrutement à Matari pour encourager les nouvelles recrues dans les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Cette initiative s’inscrit dans la droite ligne de la campagne de mobilisation lancée par le Commandant Suprême des Forces Armées et de la Police Nationale Congolaise, S.E Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, appelant les jeunes à s’enrôler massivement dans l’Armée afin de protéger et défendre le pays contre les ennemis de la paix, dont les terroristes du M23/AFC, les supplétifs du régime sanguinaire de Kagame. Lors de cette causerie morale, le Gouverneur Jean Bakomito Gambu, a souligné l’importance cruciale de la discipline au sein des FARDC, afin de bien défendre l’intégrité territoriale. « Je vous exhorte à adopter la discipline et la cohésion, car dans l’armée, nous formons une véritable famille », a-t-il déclaré. Il a rappelé à ces nouvelles recrues que la République Démocratique du Congo n’a qu’un seul Commandant suprême, c’est le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, à qu’ils doivent respect et soutien indéfectible. L’Exécutif Provincial a également insisté sur la nécessité pour chaque candidat de soutenir la vision nationale et de suivre les directives des encadreurs. Pour renforcer le moral des troupes, Le gouverneur Jean Bakomito Gambu a remis des vivres et non vivres ainsi qu’une enveloppe financière destinée à la prise en charge de ces nouvelles recrues. En visitant les locaux, le Gouverneur de province a pu se rendre compte des conditions de vie et s’assurer que les jeunes soldats disposent de tout le nécessaire pour entamer leur formation militaire. Cette démarche illustre la volonté des autorités provinciales de soutenir non seulement l’engagement des jeunes, mais aussi de rappeler que la défense du pays est une responsabilité collective qui dépend de l’implication de chacun. Hilaire Kabadunga/ Isiro

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