Le Commissaire Supérieur Principal Ruphin Mapela est arrivé à Mongwalu ce mercredi 16 avril 2025 au début de l’après-midi pour la mission de travail et d’itinerance. Accueilli à son arrivée par Sesereki Mandro le bourgmestre de cette commune rurale puis par le commandant du Régiment 3101 de Mongwalu. Un accueil chaleureux de l’autorité a clairement démontré l’importance de la présente itinérance qui a tout de suite commencé par une réunion reistrete du comité de sécurité présidé personnellement par l’administrateur du Territoire au niveau du siège administratif de cette commune rurale. Au coeur de cette première rencontre, Le diplômé des stratégies de défense a décrit sa mission d’itinerance qui a commencé depuis le mardi dernier à Mabanga dans la chefferie des Mambisa et s’en est suivie jusqu’au groupement Dhego à Badjere puis à Dala dans le groupement Londroma et aujourd’hui cette itinérance est arrivé à Mongwalu et va aller jusqu’à quelques entités chaudes du points de vue sécuritaire, humanitaire et administratif dans le secteur de Banyali Kilo A laissé entendre Ruphin Mapela Administrateur du Territoire de Djugu. Alors dans une longue marche, vers Mongwalu, le commissaire supérieur Principal a parcourus plusieurs localités devenues sous peuplées et d’autres totalement vides en secteur de Banyali Kilo suites à l’activisme de groupe armé Codedeco dans la région. Une réalité que l’autorité du Territoire a palpé du doigt et qu’il promis de faire un rapport à la fin de sa mission d’itinerance. Notons que la présente itinérance de Ruphin Mapela est d’une grande importance pour réorienter des nouvelles stratégies réponses aux problèmes que vivent les habitants dans ces coins de Djugu. Flori Drajiro depuis Mungwalu
Dans le cadre du mois de la femme, madame Chef de Division Adreza a poursuivi la sensibilisation pour la paix en Ituri. Pour cette femme leader et fonctionnaire de l’Etat « la paix est un état de concorde entre les membres d’une communauté, d’un Etat. C’est une attitude, un état d’esprit, un mode de comportement, une conduite pacifique, un respect mutuel entre les personnes et un processus decisionnel ou l’homme vit en harmonie avec lui-même, avec la nature et avec les autres pour la construction d’une paix durable dans notre chère Province » A laissé entendre la cheffe de la division provinciale de l’aménagement du territoire. Pour ajouter « les femmes doivent s’autoformer pour leurs autonomisation et manifester la méritocratie proner chez elles pour parler de l’égalité des sexes et vivre le respect de leur droit à t-elle ajouté, et appelle les Ituriens a se lever comme un seul homme à la non violence, conflit ou guerre pour le developpement de l’Ituri ». Signalons que c’est lors d’une rencontre des femmes d’une association locale que, Anuarite Adreza en a saisi l’opportunité de sensibiliser ses semblables à la culture de paix et de l’autonomisation à Hotel Letsuba de Bunia chef-lieu de la province de l’Ituri. Flori Drajiro
C’est ce dimanche 16 mars 2025 que la notabilité de la chefferie des Bahema Badjere en territoire de Djugu dans la partie Nord-est de république démocratique du Congo a au cœur de sa rencontre réagit au sujet des propos tenus par le porte-parole de l’armée en Ituri sur les ondes de la radio télévision FARDC et est passé en revue les situations générales que traverse ladite chefferie. Dans un document écrit et lu par Raymond Ngaluba président des notables Badjere a constaté carapacenews.net » […]Le porte-parole des FARDC en Ituri lieutenant Jules Ngongo Tshikudi va se précipiter devant le micro de la Rtfi en disant que ce sont les miliciens Zaïre en provenance de Bule chez les Bahema Badjere qui sont venus s’affronter contre les FARDC à Nyamamba et consorts…. vous les jeunes de Tchomia, ne permettez pas que ces Zaïrois quittent chez eux pour détruire Tchomia… » a-t-on lu carapacenews.net. Dans la suite, la notabilité s’interroge » qui, a-t-il vu par-là ? Où et quand l’aurait-il soumis à un interrogatoire ? À quel centre pénitentiaire aurait-il interné ces miliciens venus de Bule? Voilà autant de questions que se posent les notables Badjere sur une prétendue implication des jeunes gens de Bule dans un récent affrontement armé dans le littoral du Lac Albert en territoire de Djugu faisant des morts, des Pillages des biens de la population et leur déplacement massif vers d’autres entités. Par ailleurs, cette notabilité réitère son soutien aux institutions légalement établies de la république démocratique du Congo et appelle l’armée à bien communiquer pour éviter d’exposer les entités de Badjere déjà fragilisé aux menaces sécuritaires. » Nous la communauté Badjere, réitérons nos soutiens indéfectibles aux FARDC et nous n’ entretenons aucun lien avec les miliciens dits Zaïrois et disons que ce genre des propos exposent la population à un autre massacre qui cacherait son nom dans la milice Zaïre à Bule et chercherait à créer la division entre les Badjere et les Banywagi qui demeurent un seul peuple jusqu’à la fin du temps. Ou encore ce serait, coller dans la tête de nos frères Banywagi que leurs entités auraient été déstabilisées par les Badjere! Ceci se qualifie à une incitation à la haine tribale. Ont-ils écrit les notables Badjere. En outre, cette notabilité dévoile qu’elle est aujourd’hui victime des menaces sécuritaires, et autres alors qu’elle a toujours été prête à toutes les initiatives de paix. » la communauté Badjere s’est toujours montré prête à la paix, à la cohabitation Pacifique, faire la paix avec la communauté Lendu par plusieurs acceptations de toute négociation qui intervient souvent après le massacre de sa population comme preuve, le cas de Lidda, Fataki, Djaiba, Lala par la CODECO en provenance des entités de walendu Djatsi et ont pris d’assaut tous les villages du groupement Lona Lodzikpa, Gali, Dhedja… À cela s’ajoute les menaces verbales du chef du secteur des walendu Djatsi dans toutes les réunions contre notre chef de la chefferie des Bahema Badjere. C’est une façon de se moquer de notre digne représentant de la communauté et sur les âmes des membres de la communauté sauvagement massacrés » poursuit le document. Qu’est-ce alors la communauté Badjere exige t-il face aux allégations ? Signalons que la communauté de Badjere a haussé le ton après avoir passer à revue sur la situation sécuritaire, humanitaire, sociale et économique qu’affecte la chefferie des Bahema Badjere en territoire de Djugu. Flori Drajiro
La Direction Générale des Recettes du Haut-Uele (DGRHU), plus que déterminée à mobiliser les recettes du trésor public provincial en 2025. Cette vision rentre dans la ligne droite des principaux piliers du Gouvernement provincial du Haut-Uele, dirigé par le Gouverneur Jean Bakomito Gambu et du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, visant essentiellement à mettre l’homme au centre de tout. C’est le ministre provincial des finances, Jacques Anzatepedanga qui a présidé la cérémonie au nom de l’Autorité provinciale ce vendredi 14 Mars 2025 à la résidence des Gouverneurs des provinces. Dans son mot d’ouverture, le ministre de tutelle a focalisé son message sur la planification des activités fiscales de l’exercice fiscal 2025 pour une mobilisation accrue des recettes avec les différents services d’assiettes du Haut-Uele. Selon lui, cette activité va permettre à la province d’entrer dans sa phase de recouvrement des recettes proprement dites et ce, en vue de booster son développement et sa reconstruction (de la province). Pour l’honorable Jean Manda, Directeur Général de la régie financière du Haut-Uele, il est temps que tous fils et filles de la province puissent mettre la main à la pâte pour pousser la province à aller de l’avant. Il estime cependant qu’avec la volonté politique du Gouverneur Jean Bakomito Gambu et la participation active des opérateurs économiques , considérés comme les premiers partenaires de la région, la province du Haut-Uele pourra aller de l’avant en dépit des difficultés liées notamment aux infrastructures routières dont elle fait face. Dans le même registre, Jean Manda réaffirme l’engagement de la Direction Générale des Recettes du Haut-Uele à accompagner le chef de l’exécutif provincial en vue d’atteindre le paroxysme de la mission assignée, tout en promettant de tout mettre en œuvre pour la maximisation des recettes au profit de la Province du Haut-Uele afin de contribuer à son émergence, a martelé Jean Manda, le patron de la DGRHU/Haut-Uele. Hilaire Kabadunga/Haut-Uele
Le Gouverneur de la province du Haut-Uele, l’Honorable Jean Bakomito Gambu, a effectué une visite ce mardi 11 mars à Isiro, au centre de recrutement à Matari pour encourager les nouvelles recrues dans les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Cette initiative s’inscrit dans la droite ligne de la campagne de mobilisation lancée par le Commandant Suprême des Forces Armées et de la Police Nationale Congolaise, S.E Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, appelant les jeunes à s’enrôler massivement dans l’Armée afin de protéger et défendre le pays contre les ennemis de la paix, dont les terroristes du M23/AFC, les supplétifs du régime sanguinaire de Kagame. Lors de cette causerie morale, le Gouverneur Jean Bakomito Gambu, a souligné l’importance cruciale de la discipline au sein des FARDC, afin de bien défendre l’intégrité territoriale. « Je vous exhorte à adopter la discipline et la cohésion, car dans l’armée, nous formons une véritable famille », a-t-il déclaré. Il a rappelé à ces nouvelles recrues que la République Démocratique du Congo n’a qu’un seul Commandant suprême, c’est le Président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, à qu’ils doivent respect et soutien indéfectible. L’Exécutif Provincial a également insisté sur la nécessité pour chaque candidat de soutenir la vision nationale et de suivre les directives des encadreurs. Pour renforcer le moral des troupes, Le gouverneur Jean Bakomito Gambu a remis des vivres et non vivres ainsi qu’une enveloppe financière destinée à la prise en charge de ces nouvelles recrues. En visitant les locaux, le Gouverneur de province a pu se rendre compte des conditions de vie et s’assurer que les jeunes soldats disposent de tout le nécessaire pour entamer leur formation militaire. Cette démarche illustre la volonté des autorités provinciales de soutenir non seulement l’engagement des jeunes, mais aussi de rappeler que la défense du pays est une responsabilité collective qui dépend de l’implication de chacun. Hilaire Kabadunga/ Isiro
Après le claquement de la porte de la salle des pourparlers par l’association culturelle ENTE regrount les peuples Hema, plusieurs réactions ont dominées la salle, c’est aussi celle du député national Daniel Uma. L’élu de Mahagi insiste de la sortie des membres de ENTE, il fustige le langage identitaire pour aboutir à valoriser la diversité ethnique Iturienne pour accéder à une paix durable. « Je nous demande d’être au-delà et au-dessus de considération ethnique et communautaire, même si nous sommes Bira, Lendu, Hema, Alur et autres. Fournissons un moindre effort d’être au-dessus. Retenez que si nous sommes leaders, un leader n’est pas ethnique « . A martelé l’honorable de triple brassards. À lui d’ajouter » ça me fait de la peur en suivant des interventions dans le sens d’affirmer cet élément identitaire, si nous sortons réellement de cet état, nous aurons réellement la paix » ajoute t-il. Par ailleurs, cet élu s’interroge » chers facilitateurs, il y a-t-il une contrainte qui nous oblige nécessairement de travailler aujourd’hui lundi 03 mars 2025 et demain mardi 04 mars pour avoir et avoir un résultat ?et quelle est cette contrainte là ? En poursuivant encore cet élu qui fait encore une autre remarque » j’ai suivi collegue Honorable Floribert Ndjabu président du caucus qui révèle que le 13 mars les élus doivent regagner Kinshasa, d’après moi ça c’est jouer avec la vie des citoyens. Pour la paix?… s’il y a des députés qui restent ici pour leurs affaires privées en pendant toute une session, comment vous devez nous dire que le 13 mars on doit rentrer à Kinshasa alors que l’Ituri brille. C’est une irresponsabilité. Il n’y a pas une contrainte aux parlementaires de regagner Kinshasa, je préfère que nous puissions mourir ici sur la terre des nos ancêtres qu’aller à Kinshasa. S’il faut rester ici pour trouver solution aux problèmes de l’Ituri, nous allons le faire. A précisé Daniel Umma. S’agissant de l’absence de ENTE dans la salle que dit Daniel Umma ? » s’il vous plaît l’UNADI, s’il s’avère vrai et que vous commencez très mal ces travaux, rassurez- vous que vous allez aussi chuter très mal. S’il est vrai que dans vos entendements que LORI et ENTE sont les acteurs clés et principaux, je vous supplie de surseoir cette assises et d’aller trouvé solution à la quenelle. Je ne connais pas mais Dieu vous voit » a insisté le digne fils Iturien parmi d’autres présents à la salle Rehema Plaza de Bunia chef-lieu de la province de l’Ituri. Notons que le dialogue interiturien sur le franc parlé entre les fils et filles de l’Ituri est l’initiative de l’association culturelle pour le développement de l’Ituri ( UNADI) réunissant les 21 communautés Ituriennes. Sous financement du gouvernement provincial sous état de siège. La première journée n’a connu un succès. Flori Drajiro
A l’issue de sa visite d’inspection des travaux d’aménagement de l’aéroport de Beni-Mavivi le lundi 24 Février 2025, le conseiller principal du gouverneur militaire du Nord Kivu en charge des finances,infrastructures et travaux publics maître David Kamuha a, au nom du gouvernement provincial du Nord Kivu exprimé sa grande satisfaction vis-à-vis de l’avancement des travaux. Pour lui, le travail réalisé à moins de trois semaines par la société des services vihumbira (SSV) << c’est du jamais vu>>, étant donné que l’entreprise d’exécution travaille encore avec les moyens de bord. Il réitére la nécessité pour le gouvernement tant provincial que national de financer ce géant projet qui rêvet d’une importance capitale pour la République Démocratique du Congo en particulier et de la sous région en général. » Permettez moi, de féliciter l’entreprise SSV qui est entrain de battre un travail de titan puisque en deux semaines et demie seulement l’entreprise vient de parvenir à faire le décapage de 2600 mètres. C’est du jamais vu, c’est vraiment du jamais vu. Les travaux évoluent à pas de géant et je peux vous dire au nom du gouverneur militaire que nous sommes très satisfaits de l’évolution de ces travaux » a-t-il laisser entendre. Et de poursuivre : » Je tiens à souligner que l’entreprise travaille avec les moyens de bord, ce qui fait que nous avons l’obligation de mobiliser le financement pour permettre à l’entreprise de finir ces travaux dans le meilleur délais…… » Rappelons que depuis le début des travaux, plus de deux milles six cents mètres (2600m) ont été décapés, une façon pour la société des services vihumbira (SSV) de témoigner l’engagement et la détermination du gouverneur militaire du Nord Kivu le général major Somo Evariste, de faire de Mavivi un aéroport de classe mondiale. Jackson bagheni
La délégation des conseillers communaux du Haut-Uele, dirigée par Désiré Pitama Mekubasei, coordonnateur provincial, a pris par à un atelier de renforcement des capacités à Kinshasa. Selon le Coordonnateur provincial, c’est sur fond du gouvernement provincial du Haut-Uele que cette délégation a pu prendre part à ces assises de plus au moins un mois, sur invitation du collectif national des conseillers communaux. » C’est sur fond propre du gouvernement provincial du Haut-Uele que nous étions rendu à Kinshasa, sur invitation du collectif national des conseillers communaux, afin de participer à un atelier d’échange d’expérience sur les pratiques parlementaires, mais également sur le renforcement des capacités par rapport à l’élaboration de budget et au contrôle parlementaire. Nous avons passé un bon moment à Kinshasa, mais nos assises ne se sont pas seulement limitées à cet atelier. Les conseillers communaux sur l’ensemble de pays se sentent très lésé et sont abandonnés à leur triste sort. Cela fait aujourd’hui pratiquement quatorze mois, le gouvernement central n’a jamais répondu au cahier de charge des conseillers communaux, c’est-à-diré qu’il y a quatorze mois, les conseillers communaux n’ont pas touché à leurs émoluments, ils ne disposent pas de frais de fonctionnement encore moins le frais d’installation mais aussi le cadre de travail. Sur ce nous avions ajouté les élections des bourgmestres, les conseillers urbains. Tout ce que nous avons mis dans le cahier des charges et soumis au gouvernement central, n’a pas eu des réponses. Nous avions profité de cette occasion où tous les coordonnateurs provinciaux du collectif national des conseillers communaux de la RDC s’étaient réunis pour essayer de réfléchir sur cet aspect de chose. Comme vous le savez, en Afrique, si une catégorie de gens se sent lésée, abandonnée, la tendance est souvent de créer une solidarité. Cest ce qui est arrivé aux conseillers communaux à Kinshasa et leur situation les a poussé à créer le RPR, Rassemblement Populaire pour la République. C’est un courant politique, qui n’a rien à faire avec un parti politique, c’est juste un courant qui rassemble tous les conseillers communaux de la RDC et autres couches sociales. La vision de RPR est non seulement la défense les droits des conseillers communaux, mais aussi il veut se ralier derrière le Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi, qui a voulu que les conseillers communaux soient présents aujourd’hui en RDC, car la Constitution prévoit les élections à tous les niveaux. Mais depuis 2006, les élections municipales n’avaient jamais eu lieu. Voilà pourquoi nous avions pensé créer cette structure pour soutenir sa vision, mais aussi nous ralier derrière les FARDC qui sont engagés dans le front pour défendre le pays contre la guerre qui nous est imposée injustement par les enemis de la RDC, le Rwanda. Toujours dans la même optique, le collectif national des conseillers communaux a créé l’opération Cobra Tout terrain, qui a pour but de mobiliser la base afin que les jeunes rejoignent les FARDC pour défendre l’intégrité du territoire national ». Tels sont les éléments ayant constitués la toile de fond du collectif national des conseillers communaux à Kinshasa relayé à Haut-Uele par Monsieur Désiré Pitama, coordonnateur provincial. Le RPR n’est pas constitué seulement des conseillers communaux, mais il ouvre la porte a toutes les classes sociales étant donné que sa vision est axée sur le soutien indéfectible au chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi dans sa démarche de restauration de la paix sur l’ensemble du territoire national. Le Haut-Uele a eu aussi par la même occasion le privilège d’être représenté dans le RPR à travers Monsieur Désiré Pitama, qui est nommé Secrétaire général adjoint. Le RPR est dirigé par Wylli Nzambela Buloba. Désiré Pitama Mekubasei, coordonnateur provincial et Secrétaire général adjoint de RPR invite ses collègues du Haut-Uele à une prise de conscience au-delà de difficultés qu’ils éprouvent notamment celles liees à leurs émoluments, aux frais de fonctionnement, etc. Il sied de signaler que les conseillers communaux sur l’ensemble du pays éprouvent d’énormes difficultés pour siéger depuis leurs élections le 20 décembre 2023. Ils n’ont jamais été payé et ne reçoivent pas les frais de fonctionnement. Hilaire Kabadunga/Isiro.
Ce mercredi 20 février 2025, L’Union des associations culturelles pour le développement de l’Ituri ( UNADI) fait un communiqué final sur les situations sécuritaires actuelles à l’issue d’une rencontre élargie de l’assemblée générale extraordinaire. Au cours de cette assemblée générale extraordinaire tenue du 19 au 20 février 20225 dans la salle de réunion à l’espace Parc de jeu Pacifique en ville de Bunia, Chef-lieu de la la Province de l’Ituri en république démocratique du Congo. Les échanges ont essentiellement tourné sur l’évolution sécuritaire actuelle au pays en général et de la province de l’Ituri en particulier. C’est ainsi qu’il a été constaté des agitations dans les communautés après des messages tendancieux du chef d’état-major général des armées Ougandaises monsieur Muhozi sur sa page X. Les messages de haine et d’intoxication propagés dans des réseaux sociaux, la reprise des violences armées faisant des morts des civils en Ituri et beaucoup d’autres Ensuite, grâce à cette rencontre, l’UNADI a fait des recommandations au Gouvernement Central, au gouvernement provincial, à la MONUSCO, aux communautés Ituriennes et aux Groupes armés locaux de l’Ituri. Notons que 70 membres ont participé à cette assemblée extraordinaire, validant en unanimité les recommandations formulées. Parmi les participants, on a remarqué des délégués des associations des structures de la jeunesse, celle des mamans, des autres organisations, les membres et représentants des communautés et enfin les membres du comité directeur de l’UNADI chapeauté par monsieur Meta Wani Michel. À lire aussi, depuis l’arrivée des forces armées Ougandaises UPDF sur la ville de Bunia, des messages incorrects sont véhiculés par certaines personnes n’ayant ni qualité ni source fiable et ces personnes plongent des milliers des Ituriens dans une peur inédite. En faisant croire à l’opinion que, les UPDF sont venus désarmés les FARDC et se procurer de la province de l’Ituri. Une situation qui a été clarifiée hier mercredi 19 février 2025 par le Lieutenant Jules Ngongo porte-parole des FARDC puis conseiller en communication de gouverneur militaire Johnny Luboya N’Kashama et a précisé que les UPDF sont venus en Ituri dans un cadre de coopération conjointe FARDC-UPDF pour combattre les menaces internes et externes. Et il ajoute que, cette opération conjointe est ordonnée et planifiée et rien à craindre car tout sera bien défini et contrôlé. Flori Drajiro
L’aéroport national d’Isiro-Matari a été honoré ce mardi 18 février 2025 par l’arrivée marquante du vice-premier ministre des Transports, voies de communication et le désenclavement de la République Démocratique du Congo, Jean-Pierre Bemba Gombo. À sa descente de l’avion, il a été accueilli par le Gouverneur de la province, ainsi que par plusieurs personnalités politico-administratives, sécuritaires et coutumières, témoignant de l’importance de sa venue. La population d’Isiro et des environs attirées par l’annonce du message spécial du chef de l’État, pendant ce moment fort du pays. Cette mobilisation exceptionnelle a conduit à une ambiance festive et pleine d’enthousiasme parmi les citoyens, qui se sont rassemblés pour écouter les mots du vice-premier ministre, symbole de l’engagement du gouvernement envers le développement et la paix de la province du Haut-Uélé et de la République Démocratique du Congo. Après les salutations protocolaires, le cortège s’est dirigé vers le rond-point Lumumba, au cœur de la ville d’Isiro, pour le meeting de VPM. Le message du chef de l’Etat relayé par le VPM est axé sur deux points essentiels: la sensibilisation de la jeunesse afin qu’elle adhère massivement dans l’armée pour défendre la patrie contre toute forme d’agressions ; l’effort du gouvernement central pour le désenclavement de la province du Haut-Uele à travers les constructions de trois points. Après avoir transmis le message du chef de l’Etat, le VPM a salué les efforts du Gouverneur de province, Excellence Jean Bakomito Gambu, qui n’a ménagé aucun effort pour sensibiliser la population pour un accueil très chaleureux. Il a enfin remercié la population pour leur présence massive à ce rendez-vous afin d’écouter le message du chef de l’Etat. La population très satisfaite par le message du chef de l’Etat, a exprimé sa liesse à travers des champs et danses et a promis d’accompagner le chef de l’Etat dans sa vision. Certains jeunes attendent impatiemment le début de recrutement des jeunes dans l’armée. Hilaire Kabadunga/Isiro