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Ituri-Dialogue interiturien: La Communauté Ndo-Okebo sèche sa présence à cette deuxième journée et émet ses préalables

Ce mardi 04 mars 2025 la communauté Ndo-Okebo a décidé de sécher sa participation à la deuxième journée de dialogue intercommunautaire et interiturien initié par l’UNADI. Maître Londjiringa Boniface président de cette communauté explique la motivation de la décision prise par le comité directeur.  » lors de notre participation à la première journée de dialogue intercommunautaire nous avons compris un méli-mélo, l’UNADI ne doit pas nous prendre à des enfants de l’école primaire pour venir seulement sans avoir nous proposer des vrais résolutions. Nous avons aujourd’hui tout perdu, nos parents, nos frères, nos enfants, nos villages et groupements à cause de l’activisme de la milice CODECO de la communauté LORI et d’ailleurs à l’heure où je vous parle la milice CODECO occupe nos entités sans être inquiétés. Il faudrait d’abord nous proposer un dialogue intracommunautaire pouvant nous aider à faire ressortir un diagnostic interne pour lancer une thérapie à ce qui nous déchire. » A déclaré Maître Londjiringa Boniface devant la presse. À lui d’ajouter  » organiser un dialogue interiturien c’est aller plus vite et loin car avant d’y arriver il y a des actions préparatoires qui devraient se faire d’abord. À celà s’ajoute un TDR floue , une planification incohérente, le taux de représentativité inégal.(…)Nous avons compris que l’UNADI a juste voulu justifier les dépenses de l’argent reçu et nous ne sommes pas d’accord avec ça. C’est ainsi que le comité directeur de la communauté Ndo-Okebo réunit décide sécher sa présence de ce dialogue intercommunautaire Ituriens organisé par l’UNADI tant que l’UNADI n’a pas encore réorganisé sa politique sombre  » a-t-il ajouté. Notons que hier première journée a connu le retrait de deux communautés dont Hema et Mambisa alors que La communauté LORI insiste sur la continuation dudit dialogue. Flori Drajiro

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Ituri : Honorable Uma Daniel appelle l’UNADI à surseoir le dialogue intercommunautaire

Après le claquement de la porte de la salle des pourparlers par l’association culturelle ENTE regrount les peuples Hema, plusieurs réactions ont dominées la salle, c’est aussi celle du député national Daniel Uma. L’élu de Mahagi insiste de la sortie des membres de ENTE, il fustige le langage identitaire pour aboutir à valoriser la diversité ethnique Iturienne pour accéder à une paix durable. « Je nous demande d’être au-delà et au-dessus de considération ethnique et communautaire, même si nous sommes Bira, Lendu, Hema, Alur et autres. Fournissons un moindre effort d’être au-dessus. Retenez que si nous sommes leaders, un leader n’est pas ethnique « . A martelé l’honorable de triple brassards. À lui d’ajouter  » ça me fait de la peur en suivant des interventions dans le sens d’affirmer cet élément identitaire, si nous sortons réellement de cet état, nous aurons réellement la paix » ajoute t-il. Par ailleurs, cet élu s’interroge  » chers facilitateurs, il y a-t-il une contrainte qui nous oblige nécessairement de travailler aujourd’hui lundi 03 mars 2025 et demain mardi 04 mars pour avoir et avoir un résultat ?et quelle est cette contrainte là ? En poursuivant encore cet élu qui fait encore une autre remarque  » j’ai suivi collegue Honorable Floribert Ndjabu président du caucus qui révèle que le 13 mars les élus doivent regagner Kinshasa, d’après moi ça c’est jouer avec la vie des citoyens. Pour la paix?… s’il y a des députés qui restent ici pour leurs affaires privées en pendant toute une session, comment vous devez nous dire que le 13 mars on doit rentrer à Kinshasa alors que l’Ituri brille. C’est une irresponsabilité. Il n’y a pas une contrainte aux parlementaires de regagner Kinshasa, je préfère que nous puissions mourir ici sur la terre des nos ancêtres qu’aller à Kinshasa. S’il faut rester ici pour trouver solution aux problèmes de l’Ituri, nous allons le faire. A précisé Daniel Umma. S’agissant de l’absence de ENTE dans la salle que dit Daniel Umma ? » s’il vous plaît l’UNADI, s’il s’avère vrai et que vous commencez très mal ces travaux, rassurez- vous que vous allez aussi chuter très mal. S’il est vrai que dans vos entendements que LORI et ENTE sont les acteurs clés et principaux, je vous supplie de surseoir cette assises et d’aller trouvé solution à la quenelle. Je ne connais pas mais Dieu vous voit  » a insisté le digne fils Iturien parmi d’autres présents à la salle Rehema Plaza de Bunia chef-lieu de la province de l’Ituri. Notons que le dialogue interiturien sur le franc parlé entre les fils et filles de l’Ituri est l’initiative de l’association culturelle pour le développement de l’Ituri ( UNADI) réunissant les 21 communautés Ituriennes. Sous financement du gouvernement provincial sous état de siège. La première journée n’a connu un succès. Flori Drajiro

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Ituri:Une « évaluation des activités » au coeur d’une rencontre des membres d’une Coopérative Agro-Pastorale avec une vision de rendre l’Irumu un levier agricole

LA COOPÉRATIVE AGRO-PASTORALE POUR LE DÉVELOPPEMENT DU CONGO S’ENGAGE À FAIRE D’IRUMU UN peu GRENIER DE LA PROVINCE DE L’ITURI. Ce lundi 14 janvier 2025, le *Centre Jérémie de Nyakunde* a accueilli une réunion stratégique majeure réunissant *30 groupements agricoles affiliés à la Coopérative Agro-pastorale pour le Développement du Congo (C.A.D.C),* basée à Marabo Centre. *L’objectif était d’évaluer les progrès réalisés depuis l’introduction d’un tracteur agricole offert par l’Honorable Professeur BUNGISHABAKU KATHO Robert en juillet 2024.* Cette initiative marque un tournant décisif pour le territoire d’Irumu, avec une ambition claire : *cultiver 250 hectares en 2025 et faire d’Irumu un véritable grenier provincial et un levier essentiel de développement et de sécurité alimentaire.* Ces réunions qui se dérouleront désormais deux fois l’an, permettront *un suivi rigoureux des performances,* ouvrant ainsi la voie à une agriculture moderne et durable. Irumu entre ainsi dans une ère de croissance prometteuse portée par l’engagement communautaire et l’innovation. CellCom

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Djugu : voici quelques causes pour lesquelles l’administrateur du territoire est resté inconsolable devant la mort de Juga Krilo

Depuis que le commissaire Supérieur principal Ruphin Mapela administrateur du territoire de Djugu a appris la mort de son collaborateur sa majesté chef de chefferie des Mambisa Juga Krilo Henry, il est vivement bouleversé. Depuis l’assassinat tragique de ce chef coutumier exerçant également le pouvoir Etatique dans sans chefferie, le commissaire Supérieur principal Ruphin Mapela administrateur du territoire de Djugu est resté dans une angoisse inédite. Ce diplômé des stratégies de défense s’était immédiatement rendu à Nizi le matin du lundi 02 septembre à Nizi pour constater si c’est vrai que son proche et très estimé chef de chefferie n’est plus, dès son arrivée à Nizi Ruphin Mapela a finalement compris que la vie sur terre n’est que vanité des vanités. Il a eu à se prosterner devant les corps des ses administrés lâchement abattu innocemment malheureusement par des inconnus dont parmi eux une figure emblématique  » sa majesté chef Henry Juga Krilo  » dans la nuit de dimanche 01er septembre 2024 alors que sa majesté venait en peine de regagner Nizi après un petit temps de séjour à Bunia. Quel message a finalement prononcé l’administration du territoire de Djugu à l’occasion des obsèques du regretté Juga Krilo Tchele Henry ? Voici le message complet.  » l’honorable président de l’assemblée provinciale de l’Ituri ici représenté, monsieur le chef de la territoriale, monsieur le coordonnateur provincial de la société civile, monsieur le président de Unadi[…] leurs majestés chefs des secteurs et chefferies, leurs majestés chefs des groupements des Mambisa, c’est avec beaucoup de peines, de consternation, et compassion que je prends la parole à l’occasion des funérailles du chef de la chefferie des Mambisa à la personne de sa majesté Juga Krilo Tchele Henry décédé le 01 septembre 2024aux environs de 20 heures dans les circonstances très douloureuses et non élucidées. Avant toute chose, permettrez moi de rendre gloire à l’éternel Dieu des armées maître du temps et des circonstances, créateur du ciel et de la terre et le tout puissant car sans être avec lui c’est nul » a introduit son mot d’allocation le diplômé des stratégies de défense devant une foule compacte. En ajoutant ce dernier  » cette circonstance douloureuse, malheureuse a arraché de notre affection le sa majesté Henry Juga Krilo Tchele et c’est ce qui nous pousse à poser des questions pourquoi cette mort, pourquoi lui finalement nous n’avons aucune réponse devant cette méchanceté mondaine. Seulement que nous avons regretté le bon moment passé avec sa majesté, il a été pour nous un homme de sourire, de paix et de bonne relation. A chaque fois nous restions avec lui. Et aujourd’hui Djugu est profondément dans la désolation. Que son âme repose en paix  » a dit l’administrateur de Djugu. Notons que sa majesté Juga Krilo Tchele Henry a été le 6 ème chef coutumier des Mambisa après avoir succédé à son père sa majesté Ndundro Krilo Louis mort en date du 28 août 2015. Flori Drajiro

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Ituri-Vacances parlementaires : après le tour de député Samy Jakwong’a, c’est Jariekong’a Salomon qui fait une entrée éclatante dans plusieurs villages de Mahagi

Un nouveau vent inhabituel souffle ce dernier jour sur Mahagi le passage d’un député après un autre.C’est finalement ce samedi 24 août 2024 que le député provincial Jariekong’a Salomon affectueusement appelé dans Mokambo » notre jeune garçon  » a foulé le sol de sa chefferie nationale à territoire de Mahagi en province de l’Ituri. Sous un accueil sans précédent, l’élu provincial de la circonscription électorale de Mahagi s’est montré très humble devant ses électeurs par une humilité remarquable. Malgré sa cortège avec pleins des motos et véhicules, il a préféré faire le pied sur un long chemin de plus de 40 kilometres. Passant d’un village à un autre notamment Ramogi, Zii, Araa, Apala, Jupajalwiny, Juparangu, Gotkwar, Gengere, jusqu’en franchissant à l’aide d’une barque de fortune tiré à corde sur la rivière Kakoyi puis de là il a continué tjrs à pied pour atteindre son village natal Muswa un village lacustre à côté d’un autre village lacustre Muguma. Au cours de ce long footing Salomon Jariekong’a saluait les personnes dont les jeunes, enfants, femmes des villages, les hommes ainsi que les vieillards rangés le long des routes, un signe de respect et de la reconnaissance envers le peuple souverain électeur. Cependant, à son point de chute installé dans son village, l’élu du peuple a tenu un meeting populaire au cours du quel il a appelé la population à l’unité, culture de la paix et l’acceptation mutuelle pour une pacification totale de son territoire. L’occasion faisant, certains habitants présents ont présenté leurs problèmes à ce digne fils. Ces problèmes sont notamment l’occupation d’une partie de groupement Muswa par la milice CODECO ayant fait des champs de paisible population sont inaccessibles, les conditions humanitaires dégradantes des déplacés vivants dans ce groupement, le problème d’emplois et de chômage dans la jeunesse et enfin la tracasserie de certains militaires sur le lac Albert. Après avoir suivi toutes ces doléances, le député provincial Jariekong’a Salomon dit prendre bonne note et va s’investir pour rencontrer les responsables appropriés et faire un rapport parlementaire en fin que la voix du peuple soit entendue. Notons que après la chefferie de Mukambo cet élu promet de faire le même exercice dans d’autres chefferies. Il vient juste après le passage de son collègue Samy Jakwong’a le président de l’assemblée provinciale qui a momentanément regagner Bunia pour des certaines exigences administratives et protocolaires imposées aux membres du bureau étant donné que Samy Jakwong’a est le numéro un de la première institution politique de la province. Flori Drajiro

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FARDC: un appel de recrutement dans l’armée Congolaise s’accentue contrairement aux autres services (constat)

À ce jours, une campagne de recrutement des Forces Armées de la République Démocratique du Congo est à la une. Des communiqués officiels circulent dans les réseaux sociaux, dans des églises et mosquées pour appeler les congolaises et congolais à s’enrôler dans l’armée dans le souci de renforcement des effectifs de troupes d’une part et d’autre part leur rajeunissement pour élever la RDC à un niveau très élevé dans sa capacité de la défense et d’intégrité de ses territoires. Contrairement au recrutement dans les autres services étatiques comme par exemple dans des régies financières où le recrutement se déroule souvent sans beaucoup de bruits et qui parfois occasionne un népotisme, un favoritisme et de la corruption alors que le recrutement dans l’armée est hyper médiatisé. Malheureusement, l’armée en république démocratique du semble être méconnue et moins appréciée par la plupart des jeunes qui préfèrent aller dans les universités, dans des grandes entreprises qui génèrent des gros capitaux, croyant que les FARDC est un lieu réservé aux Kuluna, aux délinquants et d’autres personnes sans-emploi et moins lettrés. C’est pourquoi, avec ce recrutement, la république démocratique du Congo va certainement rajeunir ses hommes en uniforme et surtout que des critères basés sur le niveau d’études, l’âge et casier judiciaire sont les meilleurs des observances en vue de faire face à une armée compétente, forte, instruite, efficace et crédible sur le terrain. Cependant, l’irrégularité et le retard de payement dans le solde de militaire doit être également un frein qui empêcherait les jeunes à s’engager à répondre activement dans les forces armées. Il est donc important de valoriser le social des militaires ainsi que leurs dépendants. Leur ration, le soins de santé, le logement et la logistique . Signalons que des nouvelles réformes sont annoncées par la première ministre Judith Suminwa Tuluka lors de la présentation de son programme de gouvernement devant les députés nationaux. Redaction

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Ituri: Deogratias Bungamuzi lance un message à la jeunesse

Il est temps que les jeunes de la province de l’Ituri puissent se liguer dans la création de leurs propres emplois pour un avenir meilleur. C’est ce qu’a souligné Deogratias Bungamuzi, le président du conseil provincial de la jeunesse ce samedi 22 juin 2024 dans une exclusivité à carapacenews.net. d’entrée le jeu, le numéro un de la jeunesse Iturienne veut stimuler les jeunes à un esprit entrepreneurial gage d’emploi et de lutte contre le chômage en vue de booster une amélioration de conditions de vie des jeunes créateurs des initiatives selon les ressources disponibles dans chaque entité. Dans le même angle d’idées, le patron de la jeunesse Iturienne sollicite un accompagnement du gouvernement congolais non seulement par l’octroi d’un fonds destiné à l’entrepreneuriat des jeunes mais aussi la suppression de certaines taxes qui pèsent sur les business des jeunes et qui remettent à néant les efforts de ces derniers a a-t-il poursuivi Deogratias Bungamuzi. Par ailleurs, en province de l’Ituri, tout comme dans les autres provinces de la RDC, les jeunes constituent une première classe majoritaire de la population Congolaise tributaire de développement mais paradoxalement cette classe est dans un chômage inédit et qui plonge les uns dans une délinquance et les autres dans les groupes armés. Donc il est utile que la jeunesse Congolaise en général et Iturienne à particulier fassent de l’entrepreneuriat un objectif clé et une vision incontournable dans le retour d’une stabilité sécuritaire et la paix pour une cohésion sociale car la guerre n’a jamais contribué à la promotion d’une entité. Signalons que l’Ituri traverse des problèmes sécuritaires depuis environ 7 ans dont certains jeunes sont dans les groupes armés. Redaction

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