Justice

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Ituri: Remise des Brevets aux 43 Lauréats moniteurs des droits de l’homme à Bunia

Ce samedi 22 février 2025 à l’hôtel Gold star de Bunia au chef-lieu de l’Ituri devant les hautes personnalités de l’appareil judiciaire 43 autres lauréats moniteurs des droits de l’homme ont été décorés pour la deuxième promotion en Ituri. Pour Opola Mopasa Patrick Manager national du Bureau des inspecteurs de droits de l’homme, ces lauréats durant un mois été formés, capacités sur plusieurs matières leur permettant d’être utiles pour la société.  » ces lauréats moniteurs sont d’abord des inspecteurs des Droits de l’homme au sein de l’école internationale des droits de l’homme et ont été capacités dans les diverses modules notamment le petit dictionnaire des infractions, la procédure pénale militaire, la procédure pénale ordinaire, les droits de citoyen congolais, le cours d’enquête des arrestations arbitraires et le droit foncier tout cela durant un mois au l’issue dequel ils ont été capables de connaître le parallélisme entre infractions de droits communs et violations des droits de l’homme » a-t-il dit à carapacenews.net. À lui d’ajouter  » ces moniteurs vont aider la société par à dénicher les différentes violations des droits de l’homme et les dénoncer enfin que les victimes soient remises dans leurs droits » A ajouté le manager national. En outre, ces inspecteurs et moniteurs ont doivent connaître leurs droits et devoirs pour leur permettre à mieux défendre les droits des autres. Ils ont également l’oeillet et l’œil des autorités tant publiques et judiciaires. Ils doivent respecter les lois de la république . Il est utile de reconnaître les efforts enregistrés en Ituri qui aujourd’hui a environ déjà plus de 800 inspecteurs des droits de l’homme et environ quatre-vingt-dix (90) moniteurs sur l’ensemble de la province. Alors que les coordinations provinciales des droits de l’homme sont déjà implantées dans les 24 provinces de la république démocratique du Congo et qu’il reste que deux provinces dont Kasai et Tshuapa. En Ituri cette deuxième promotion a un peu moins de lauréats par rapport à la première qui avait présenté cinquantaine des lauréats. Néanmoins cette fois ci, la coordination provinciale de l’Ituri a eu à installer ses structures au niveau territorial, communale et urbain. Un tournant décisif pour cette organisation. Notons que cette remise a eu lieu devant le représentant de Procureur de la république, l’Auditeur militaire de Garnison et le chef de division provinciale de la justice et de Garde des sceaux. Les Lauréats et toute l’assistance étaient dans une joie immense. Flori Drajiro

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Sur Le Lac Albert: Un Feu ardent brûle entre l’équipe de « l’Unité de Surveillance » et le Comandant de 332 ème Base Navale

Plusieurs accusations portées à l’encontre du Lieutenant Colonel Ekofo Bolombo Chico par l’association des pêcheurs et d’autres organisations locales vivant dans le long des Zones du Lac Albert. La toute première lettre de Fédération des pêcheurs du Lac Albert sur les questions préoccupantes que traversent les pêcheurs depuis quelques temps appelant l’attention du gouverneur militaire le lieutenant général Johnny Luboya N’Kashama. Laquelle correspondance du 26 janvier 2025 N⁰01/BUR/FECOPELA/L.A/01/2025 A-t-on lu carapacenews.net  » nous vous adressons notre inquiétude sur les abus liés à la pêche illicite qui sévit sur le Lac Albert. Cette problématique représente non seulement une menace pour la biodiversité du Lac mais un moyen de subsistance des communautés riveraines, une situation qui nous inquiète au plus haut niveau et nous pousse à condamner l’implication négative de certains éléments de force navale dans la réglementation de pêche et leur implication directe dans la pratique de pêche prohibée… » écrit Fecopela À préciser  » depuis l’arrivée du nouveau Commandant de 332ème Base navale de l’Ituri, nous avons toujours manifesté notre bonne foi de la gestion commune du lac Albert en lui proposant de multiplier des rencontres avec tous les membres parties prenantes malheureusement cette force navale prend des décisions unilatérales qui pourraient nuire à la durabilité de nos ressources du lac Albert. Des rencontres qui pourraient être des occasions d’échanger des points cruciaux pour préserver nos ressources halieutiques ». :À lire aussi : Ces deux (2) derniers mois le Commandant de la force navale a choisi travailler seul en écartant tous les membres des parties prenantes, nous avons constaté une forte augmentation de nombre de filet moustiquaires des éléments de la force navale et de leurs amis sur le lac Albert. Nous avons aussi constaté l’augmentation des éléments de la force navale qui collectent de l’argent appelé << de semaine >> et des poissons auprès des pêcheurs sur le lac Albert et de son littoral pour encourager la pêche prohibée. Pendant ce temps, plusieurs filets moustiquaires qui avaient été arrêtés ont été restitués à leurs propriétaires moyennant l’argent  » s’inquiète Fecopela. Pour ajouter  » il est inacceptable que les éléments de la force navale en patrouille de combat se transforme sur le Lac en patrouilleurs de la réglementation de pêche protégeant leurs collègues militaires et leurs amis pratiquants la pêche prohibée aux filets moustiquaires. Tandis qu’ils arrêtent les civils sans défense. Pire encore, ceux qui sont en conflit avec leur comandant et à retard de payement de 40000 FC par barque frais d’autorisation des filets prohibés sur le lac. Alors qu’il y a l’inaction de leur part sur la présence des bandits qui volent chaque fois les moteurs hors-bord moins encore pendant la menace quotidienne de la Marine ougandaise sur nos pêcheurs congolais. :À lire aussi: Nous sollicitons : Prise en otage de l’unité provinciale de surveillance par le commandant a.i de 332ème base navale du lac Albert le Ekofo Bolombo lieutenant-colonel  » il a été peu avant le commandant de la flottille basée à Mahagi port et a toujours obstrué les activités de l’unité de surveillance pour son propre compte. Aujourd’hui la pêche aux lampes sont visibles sur le lac à lieu et place de la surveillance comme dit l’arrêté créant cette structure. Il a toujours collecté de l’argent auprès de ceux qui pratiquent la pêche prohibée malgré nos dénonciations. Par ailleurs, il est constaté qu’une autre lettre a été cette fois là écrite au VPM de la défense nationale et des anciens combattants pour son intervention immédiate sur ce qui se produit sur le lac Albert par la volonté manifeste des éléments de la force navale. Des révélations accablantes signalées dans cette correspondance  » la force navale s’est transformée sur le lac Albert aux hommes sans-coeur qui extorque les biens des civils et pillages excessifs des poissons des pêcheurs, la saisie illégale des matériels de pêche , le détournement des matériels saisis, l’interdiction de la patrouille imposée à l’unité de surveillance. En outre, au regard de tout se qui se dit, notre redaction centrale en parcourant les correspondances des deux parties opposées. L’on se demande si qui mérite mieux parmi les deux camps? Alors que l’un accuse l’autre et vice-versa. On pourrait certainement attendre des solutions idoines auprès des autorités hiérarchiques pour le retour de paix et harmonie sur la gestion des ressources halieutiques de lac Albert. Notons que, pour sa part le commandant de la 332ème base navale à son tour a accusé le coordonnateur de l’unité de surveillance travaillant à un roi et maître d’un électron libre octroyant l’autorisation aux pêcheurs de faire la pêche prohibée. Une allégation rejetée par Avotsia et qui pointe du doigt la force navale d’être à la base de tous les dérapages, antivaleur, pillages et non-respect des textes légaux. Un dossier à suivre Flori Drajiro

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Ituri : L’avocat Bahati Kodjo Innocent risque de subir la rigueur de la loi suite à ses allegations mensongères portées contre le magistrat Kumbu

Suite à la publication des allégations mensongères sur les réseaux sociaux par maitre Bahati Kodjo Innocent accusant faussement le Colonel Magistrat Kumbu Ngoma Jean Baptiste, avocat général de l’auditorat supérieur militaire de l’Ituri, Maitre Bahati risque gros selon certaines sources. Contacté, le colonel magistrat Kumbu Ngoma Jean Baptiste, en rapport avec la publication de maître Bahati Kodjo Innocent, cette autorité judiciaire souligne que cet avocat va subir la rigueur de la loi. La dite autorité judiciaire confirme le dépôt de sa plainte dès la semaine prochaine devant le conseil de l’ordre du barreau de Kinshasa Matete contre cet avocat, en attendant sa plainte qui sera déposée devant le juge repressif de Kinshasa Matete contre le même avocat Bahati Kodjo. Rédaction

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Djugu: Noël attristé pour les habitants de Katoto

La fête de Noël habituellement célébrée avec fastes s’est brusquement tournée à une soirée de tristesse et de larmes dès l’apparition d’un odieux message à 15h00 heures locales de Katoto dans le Groupement Luvangire en chefferie des Bahema nord, à environ 20 Km seulement au Nord de Bunia chef-lieu de l’Ituri. La mort tragique de jeune Zawadi, un taximan de son état assassiné par les sans-coeur  » miliciens CODECO  » a occasionné une désolation sans précédent. D’après une source proche et locale gardée sous l’anonymat, la victime avait ramené des marchandises à bord de sa moto pour approvisionner le centre commercial de Dramani situé à quelques mètres seulement de la sortie de la paroisse catholique de Lita sur le tronçon Lita-Guu. La même source ajoute que  » le jeune Zawadi Taximan n’était pas allé à Lita seul, ils étaient nombreux tous venus de Katoto. Mais malheureusement au moment de leur retour c’est lui qui a précédé au devant et qu’en arrivant à un endroit appelé [ Kalvario] c’est un endroit situé à l’entrée de la paroisse où ce dernier va recevoir des coups des balles des hommes armés présumés CODECO qui contrôlent jour et nuit cette Zone malgré la présence d’un petit nombre des FARDC à Lita. Par ailleurs, l’assassinat de ce taximan n’est pas le premier cas nous renseigne la même source. Peu avant un autre Taximan nommé Pascal avait subi le même sort dans le même endroit. Ce qui pousse à remettre en cause la relation de bon voisinage entre le Groupement Loga en secteur de walendu Tatsi et Luvangire en chefferie des Bahema Nord, nous de Luvangire c’est chaque fois nous perdons les nôtres innocemment et ça doit non seulement cesser mais interpeller les opérateurs sécuritaires at-il ajouté. Notons que plusieurs fois les taximan de Katoto approvisionnent les entités de Loga en produits finis dont les boissons gazeuses, le sel, le Sucre, l’essence, les Savons et autres produits manufacturés de première nécessité. Malheureusement de fusillade répétitif crée une peur au ventre des taximan et fragiliserait non seulement la fréquentation mutuelle mais aussi un frein auprès des certains fidèles de Katoto à fréquenter la messe à la paroisse catholique Notre-dame de l’Assomption de Lita devenue semi-desertique à cause de la précarité sécuritaire dans la zone depuis quelques années. Flori Drajiro

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Djugu: Un ex-Président de jeunes fusillé par des inconnus à Tchomia

Ce mardi, 17 décembre 2024 vers 20 h 00, un acte de violence choquant a eu lieu dans le groupement Tchomia, l’un des groupements de la chefferie de Bahema Banywagi, en territoire de Djugu, dans la province de l’Ituri. Germain MAKl, l’ancien président des jeunes du village d’Engavu, a été tragiquement fusillé par des inconnus, transformant une soirée tranquille en un moment de désolation. L’incident s’est produit près de la mosquée, un lieu de paix et de recueillement, désormais marqué par cette tragédie. La victime, gravement blessée, a été rapidement transportée à l’hôpital, où elle recevait des soins d’urgence, mais hélas, la victime a rendu l’âme peu après suite à ces blessures paix à son âme. Les autorités locales, sous le choc après cette agression, ont immédiatement lancé une enquête pour retrouver les responsables de cet acte odieux. La communauté de Bahema, plongée dans la peur et l’incertitude, attend des réponses, espérant que la vérité sur ce drame sera révélée. La situation est préoccupante, et les appels à la sécurité et à la justice se font de plus en plus pressants dans cette région déjà touchée par des violences répétées. Les habitants du groupement Tchomia espèrent retrouver la paix, alors que l’ombre de cette tragédie pèse sur leur quotidien. Moses MAKl

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Ituri : La RFO dote les magistrats et les instances judiciaires en « Textes des lois » relatifs à la conservation de la nature à Bunia

À Bunia chef-lieu de la province de l’Ituri, ce Mercredi 04 décembre 2024, la RFO vient de passer à une étape majeure, celle d’outiller les instances judiciaires et plus particulièrement les magistrats avec les textes légaux qui réglementent la conservation de la nature dans une aire protégée. Cette dotation intervient après une recommandation formulée récemment par les magistrats qui ont participé à un atelier de renforcement des capacités sur les infractions liées aux espèces sauvages, au terme duquel, il a été dit de renforcer les instances judiciaires avec des textes garantissant la répression des infractions liées aux espèces partiellement ou totalement protégées dans une aire protégée. A dit Emmanuel Makengo, Juriste à la Réserve de Faune à Okapis (RFO), ce mercredi 04 décembre 2024 devant la presse de Bunia. Par ailleurs, plusieurs instances judiciaires notamment la Cour d’appel de l’Ituri, le Tribunal de Grande instance de l’Ituri, le Parquet général, la cour militaire de l’Ituri, l’Auditorat militaire ont largement salué cette dotation qui leur seront des guides pendant des éventuels procès en matière des infractions susmentionnées. Par exemple, pour le Premier Président de la Cour d’Appel de l’Ituri, Magistrat Emmanuel Shamavu a exprimé son remerciement à la RFO, en termes : « Merci d’honorer votre promesse, puisque, il était nécessaire de mettre ces documents importants à notre portée pour aider les magistrats à bien appliquer la loi en cas des procès relatif à la protection de l’environnement et la conservation de la nature. Nous souhaitons que ce partenariat soit continuel et fructueux ». A-t-il dit Cette dotation est constituée de différents textes des lois en matière de la protection de l’environnement en général et la conservation de la nature ainsi que d’autres outils de sensibilisation sur la RFO et ses espèces fauniques : Notons que, cette étape est d’une grande portée non seulement pour la RFO mais aussi pour les magistrats qui sont les premiers à rechercher les infractions et à les réprimés conformément à la loi. Flori Drajiro

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Rentrée Judiciaire 2024-2025 au niveau de Cour d’appel de l’Ituri : voici les « Dossiers majeurs traités » au cours de l’audience inaugurale

Deux dossiers majeurs notamment la  » Problematique sur la faiblesse de l’application des textes dans la protection des droits des enfants orphelins mineurs lors de la succession  » et la problématique sur la  » Prolifération des boissons fortement alcoolisées risque sanitaire, sécuritaire  » ont été largement traités lors d’une audience inaugurale de ce Samedi 30 novembre 2024 à l’occasion de la rentrée judiciaire exercice 2024-2024 Dans le premier cas, le Premier président de la Cour d’appel Magistrat Emmanuel Shamavu Murimbo a martelé sur plusieurs faiblesses auprès de liquidateur piétinant les droits de l’héritier à l’âge mineur. Notamment Par ailleurs, propose qu’une désignation de trois à cinq personnes qu’au lieu d’une seule personne pour liquider la succession, dans laquelle commission doit figurer l’héritier de première catégorie désigné soit par le testament, soit encore par le conseil familial et le représentant du pouvoir administratif et la personne qui exerce sur mineurs l’autorité parentale. En outre le deuxième cas est lié à la prolifération abusive des boissons fortement alcoolisées a vivement attiré l’attention de Madame Eudoxie Maswama Procureur Général près la Cour d’appel de l’Ituri, elle a exhorté les services étatiques de contrôle de la qualité des produits de consommation comme OCC de s’impliquer entièrement puis dans un bref délai trouver un remède face à ce fléau très ravageant, une menace contre la santé humaine, une cause des accidents sur la voie publique, une cause de morbidité et une cause de banditisme et criminalité urbaine. A dit Magistrat Eudoxie Maswama dans un propos recueilli par Carapacenews.net Notons que, la cérémonie de la rentrée judiciaire exercice 2024-2025 au niveau de la Cour d’appel de l’Ituri a connu la présence de toutes les couches des opérateurs judiciaires des juridictions civiles ainsi que militaires. Flori Drajiro

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Affaire 18 déplacés de Djugu expulsés en Ouganda : Une véritable confusion à leur retour au Pays y règne, qui dit vrai? Qui dit faux?

Au total, 18 civils déplacés de guerre du site de la plaine Savo à Bule dans la Chefferie de Bahema Badjere en territoire de Djugu ont été présentés au Gouverneur militaire Johnny Luboya N’Kashama par le patron de la Police Nationale Congolaise en Ituri, ils ont été déclarés « les recrues de la rébellion M23/AFC de Corneille Nanga) devant les membres du Comité Provincial de Sécurité. Par conséquent, un autre document officiel du service Ougandais en matière de la migration et de la nationalité ne fait aucune mention d’un constat de présumer collaboration de ces citoyens congolais avec les M23/AFC de Corneille Nanga. Une contradiction face au réalité vécue lors de la présentation de ces 18 Vulnérables déplacés avec un nouveau nom  » alliés de M23-AFC  » au Gouvernorat de l’Ituri ce Mardi 26 novembre l’an encourt. D’après la version fournie par le service Ougandais de la migration.  » nous vous transmettons cette liste avec une demande de veiller à ce qu’ils quittent le territoire national et que leurs informations soient enregistrées dans les Systèmes PISCES et MIDAS » rapporte le communiqué écrit en Anglais. Par ailleurs, d’après la lettre soutenue par l’UNHCR une structure qui s’en charge des réfugiés et les personnes en situation difficile et d’urgence: » ces individus viennent tous du Village Bule, Territoire de Djugu, ils ont été interceptés dans le district de Kisoro en compagnie d’un homme du nom Bahati qui leur avait promis du travail après les avoir convaincus de venir en Ouganda pour trouver un emploi. Cependant, ils n’ont pas l’intention de demander l’asile et préfèrent être retournés dans leurs familles en RDC- Ituri en territoire de Djugu  » précise UNHCR Notons que ces individus sont présentement dans la Prison Centrale de Bunia, bien qu’ils avaient demandé regagner leurs membres de familles après avoir séjourné illégalement en Ouganda. L’avenir nous dira plus, c’est un dossier qui nécessite des enquêtes indépendantes, l’implication des membres du gouvernement Suminwa, les parlementaires et chacun à ce qui le concerne pour trouver la vraie version. Redaction

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Bunia: Les journalistes déçus de « l’agression de leurs » par certains éléments de sécurité et défense peu avant l’interview avec Judith Suminwa à l’Aéroport Murongo

Quelques journalistes de Bunia ont subit des actes insupportables, ternissant l’image de leur noble profession peu avant que prenne parole Madame Judith Suminwa Tuluka la Cheffe du Gouvernement aussitôt atterri à l’aéroport national Murongo de Bunia. Un ral – bol exprimé par ces journalistes victimes d’agression physique et public déshonorant. Provoque visiblement une terrifiante émotion auprès des Prestataires amis des micro et de la plume. Des recommandations qu’ils émettent vont dans le sens d’une condamnation ferme par les responsables des unités de l’armée et de la police des éléments indisciplinés en uniforme qui doivent connaître le rôle de la presse dans une activité publique. Les services de sécurité et de la défense ont un rôle clé à montrer aux siens ce qu’ils doivent faire pour sauvegarder l’honneur de la nation Congolaise avec des hommes capables, crédibles et fiables. Le journaliste ne doit pas faire objet d’une violence moins encore d’une agression physique pendant qu’il est en plein exercice de sa fonction celle de récolter les informations pour mieux informer la communauté tout entière. Ont précisé les victimes et JED cette agression exercée par des militaires et policiers sur 5 journalistes dont Papy Kilongo le Rédacteur en chef de la radio Télé Sango Malamu, Jospin Masumbuko de la radio communautaire Maendeleo, Charlie Omba éditrice de média en ligne Ituri.Cd, Saliboko Mangala Pierre de la radio Merveille et Rachidi Kudra de la radio école de l’université de Bunia. Tous veulent une poursuite judiciaire en l’endroit des auteurs de cet acte. Notons que cette agression a beaucoup déséquilibré l’esprit des autres journalistes confrères qui ont assisté le fait alors que l’Ituri a accueilli une forte délégation ministérielle et parlementaires dont la Cheffe du gouvernement congolais à sa tête pour évaluer l’Etat de siège. Flori Drajiro

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RDC: Clôture des États généraux de la Justice à Kinshasa

Ce samedi, à Kinshasa, le Président Félix Tshisekedi a procédé à la clôture des États généraux de la Justice, qu’il avait inaugurés le 6 novembre dernier. Au terme de ces assises, 359 résolutions ont été adoptées. « L’histoire jugera sévèrement ceux qui trahiront ces engagements de la Justice au service du peuple », a affirmé le Chef de l’État. Parmi les décisions phares, le rapporteur des travaux, l’avocat Aimé Kilolo, a évoqué la création d’une conférence des procureurs, la protection des avocats, l’établissement d’un statut particulier pour les greffiers, la réforme de la justice militaire, ainsi que l’adoption de la double nationalité sous certaines conditions. De plus, une loi de compétence universelle a été proposée pour poursuivre tous ceux qui commettent des crimes contre la République Démocratique du Congo. Dans son discours de clôture, le Président Tshisekedi a souligné la nécessité d’« une justice qui protège les droits de tous », tout en appelant à la révision des cadres législatifs en matière de justice, à la formation continue des magistrats, ainsi qu’à une lutte acharnée contre la corruption. Il a également insisté sur l’importance de rendre les décisions de justice dans les délais légaux. Initiateur de ces travaux, le ministre d’État chargé de la Justice, Constant Mutamba, a présenté plusieurs options pour repenser le système judiciaire congolais. Parmi celles-ci figurent la révocation des magistrats et greffiers véreux, la radiation à vie des avocats coupables de fautes professionnelles graves, et le remplacement du Conseil supérieur de la magistrature par un Conseil de la Justice. Ces États généraux ont réuni 3 500 délégués issus de tous les secteurs de la vie nationale, autour du thème : « Pourquoi la justice congolaise est-elle qualifiée de malade ? Quelle thérapie face à cette maladie ? » Cette rencontre marque une étape cruciale dans la quête d’une justice plus équitable et efficace en République Démocratique du Congo. redaction

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