Humanitaires

Administration, Humanitaires, Sécurité, Société

Nord-Kivu :Le Gouverneur militaire de la province à Walikale pour renforcer la sécurité de la population

Le général Major Kakule Somo Evariste, gouverneur militaire du Nord-Kivu, est arrivé ce jeudi 27 février, à Walikale centre, chef-lieu du territoire de Walikale, avec pour objectif de renforcer la sécurité et la protection de la population sous sa juridiction. À son arrivée, il a été accueilli chaleureusement par la population locale et les autorités civiles. Le même jour, le gouverneur militaire a tenu une réunion avec les différents chefs militaires de la région. Cette rencontre a été l’occasion de discuter des questions de sécurité, de protection des frontières congolaises et des échanges avec les différentes couches sociales. Lors de son itinérance, le général Major Kakule Somo Evariste a mis l’accent sur l’importance de la collaboration entre les forces de sécurité et la population pour garantir la paix et la sécurité dans la province. Il a également souligné la nécessité de renforcer les mesures de protection aux frontières pour prévenir toute incursion des groupes armés étrangers. Cette visite du général Major Kakule Somo Evariste à Walikale s’inscrit dans une série d’actions visant à stabiliser la situation sécuritaire dans le Nord-Kivu, une région régulièrement confrontée à des conflits armés et des violences.

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Développement, Economie, Humanitaires, Sécurité, Société

Haut-Uele : Le Pont Nzoro reliant le territoire de Faradje au Watsa a cédé

Le pont Nzoro, qui enjambe la rivière éponyme dans la localité de Nzopi sur la route nationale numéro 26, reliant les territoires de Watsa et Faradje, s’est effondré dans la nuit du 13 au 14 février 2025 lors du passage d’un camion poids lourd surchargé. Depuis un certain temps, la Province du Haut-Uele fait face aux problèmes d’effondrement requièrent des différents ponts, ce qui rend la vie difficile dans le Chef-lieu de la province. Avant l’effondrement du pont de Nzoro, la province, et particulièrement le territoire de Watsa, avait déjà connu deux autres effondrements de différents ponts, notamment le pont de Bomokandi et celui de Kibali. Pour prévenir les cas récurrents d’effondrement des ponts, le Gouverneur de province, excellence Jean Bakomito avait formellement interdit la circulation des camions remorques sur l’ensemble du territoire de la province du Haut-Uele, et cet dernier cas survient après ces mesures prises par l’autorité provinciale. Notons que cette route était la seule voie pour approvisionner la ville d’Isiro en produits manufacturés, suite à l’effondrement du pont Bomokandi dans le territoire de Watsa, dont la reconstruction est en cours grâce aux efforts du Chef de l’exécutif provincial. Hilaire Kabadunga

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Humanitaires, Page noire, Politique, Sécurité, Société

Reprise de l’insécurité en Ituri : UNADI très choqué et compati avec les familles éplorées

L’union des associations culturelles pour le développement de l’Ituri ( UNADI) se dit très consternée par ce rebondissement d’insécurité à territoire de Djugu et Irumu faisant des morts et plusieurs autres dégâts. Elle a présenté son mot de condoléances aux familles endeuillées. C’est ce mercredi 12 février 2025 que Meta Wani Michel président de l’UNADI a condamné avec véhémence le rebondissement de crime contre les populations civiles plongeant plusieurs communautés Ituriennes en détresse.  » j’adresse mes sincères condoléances aux familles endeuillées et je profite cette occasion pour rappeler à toutes les communautés Ituriennes que l’heure n’est pas aux violences puisque le sang a trop coulé en Ituri. Ça doit cesser, les manipulations doivent cesser car notre Ituri est une terre bénie pourquoi continuer à semer de terreur, de la division entre les communautés ? Une fois encore je dis arrêtons ça; ça ne profite à rien  » A précisé Meta Wani Michel. Et d’ajouter  » nous condamnons également ceux-là qui circulent des messages de haine dans les réseaux sociaux et qui engendre des conséquences violentes et graves sur nos communautés alors que ce sont les innocents qui perdent leurs vies de façon injuste. Nous demandons à tous les groupes armés de l’Ituri à se rappeler des actes d’engagement de cessation des hostilités qu’ils signé devant le gouvernement congolais. La paix pour nous, entre nous et avec nous c’est la meilleure de chose pour accroître le développement de nos milieux et notre province » a ajouté le président de l’UNADI. Notons que, seulement 3 jours durant en territoire de Djugu, le groupe armés d’autodéfense a tué 5 civils à Fataki s’en est suivi par la milice CODECO qui a massacré plus de 80 personnes et incendies des maisons alors que en territoire d’Irumu les ADF tuent plus de soixantaine des civils dans moins de dix jours. L’intervention des autorités sécuritaires demandée pour protéger les vies humaines. Flori Drajiro

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Énième prorogation de l’état de siège, où est la paix en Ituri: Encore une nouvelle attaque CODECO faisant 8 morts et 32 maisons incendiées ce mercredi à Djugu( Bahema Badjere)

La chefferie de Bahema Badjere en territoire de Djugu plus précisément le groupement Djaiba est devenu  » un Abattoir humain » pour les miliciens CODECO. D’après une source fiable issue de la chefferie de Bahema Badjere qui a alerté la rédaction centrale de carapacenews.net avançant un bilan de 8 civils abattus dont six (6) hommes, deux (2) femmes, un(1) blessé grave et 32 maisons incendiées tôt matin de ce mercredi 13 février 2024. Une situation qui inquiète plus d’une personne en plein état de siège décrété par Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo en mai 2021 pour imposer la paix, l’autorité de l’état sur les zones sous contrôle des miliciens. Cette situation désastreuse plongeant les gens à se demander que fait réellement les autorités sécuritaires pour éradiquer l’activisme des groupes armés en Ituri qui n’a que déjà trop duré avec des bilans lourds et horribles. Pour  » UNADI » par exemple se dit très consterné par le rebondissement de l’insécurité à territoire d’Irumu dans le groupement Bandavilemba où depuis le 27 janvier jusqu’à début Février 2024 plus de 60 personnes massacrées par les ADF et à territoire Djugu secteur de walendu Djatsi à Fataki dans la nuit du 8 au 9 février 2025 5 personnes tuées et puis plus de 80 personnes tuées à Djaiba en chefferie de Bahema Badjere par la milice CODECO. Ce qui ramène le chiffre à 145 personnes massacrées par les hors la loi. C’est ainsi que Unadi se demande pourquoi les armés à territoire de Djugu ne peuvent-il pas prendre conscience et comprendre que nous sommes tous des frères et sœurs ? Pourquoi accepter d’être toujours manipulé par les ennemis de la paix ?  » s’interroge Meta Wani Michel président de l’Union des associations culturelles pour le développement de l’Ituri. Par ailleurs, les députés nationaux, provinciaux et le directoire national de l’association culturelle ENTE regroupant les peuples Hema plaident dans une même direction, une enquête indépendante pour dénicher les auteurs enfin que la justice soit rendue conformément à la loi de lu pays car la vie humaine est sacrée. Notons que plus de 50 personnes massacrées dans la nuit du 10 au 11 février 2025 à Djaiba par la milice CODECO ont été enterrés le même mercredi 11 février dans une fosse commune dans la chefferie de Bahema Badjere. Fort malheureusement les miliciens CODECO progressent avec la tuerie et massacre de masse contre les vulnérables, déplacés de guerre sans arrêt, sans être inquiétés. Flori Drajiro

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Humanitaires, Société

Bunia: L’Union des Jeunes Ndo-Okebo à la rescousse des Orphelins de Saint Nicolas

L’Union des Jeunes Ndo-Okebo (U.J.N.O) de la ville de Bunia a effectué une visite empreinte de solidarité à l’orphelinat Saint Nicolas ce dimanche 09 février 2025. Cette initiative a permis de palier quelques besoins des premières nécessités pour soutenir les enfants orphelins, dont le nombre s’élève à plus de 67. Lors de cette visite, le Président de l’U.J.N.O, M. Dieumerci Tchedya, a lancé un vibrant appel à tous les bons samaritains. Il a souligné l’importance d’assister ces enfants, qui se trouvent dans une situation de grande précarité : « Nous demandons à tout le monde d’aider ces enfants, même par de petits gestes, car ils sont dépourvus. S’il y a lieu de vous organiser, veuillez le faire. » M. Tchedya a également fait part d’un constat frappant concernant le nombre d’orphelins, en précisant : « Nous avons appris un chiffre surprenant de ces orphelins (67). Comme vous le savez, même en famille, nourrir 8 personnes n’est pas facile. » Cette déclaration met en lumière la réalité difficile à laquelle font face ces enfants, qui nécessitent un soutien urgent. L’U.J.N.O appelle donc la communauté à se mobiliser pour apporter une aide concrète à ces jeunes vulnérables, rappelant que chaque contribution, aussi modeste soit-elle, peut avoir un impact significatif sur leur quotidien. L’engagement de l’U.J.N.O témoigne d’une volonté collective de prendre soin des plus démunis. La solidarité est essentielle pour améliorer les conditions de vie de ces orphelins et leur offrir un avenir meilleur. Signalons que l’orphelinat saint Nicolas est une oeuvre de la charité sous gestion des religieuses de la congrégation de Marie d’Ingel Myster sise au quartier Bankoko en commune Mbunya à Bunia chef-lieu de la province de l’Ituri dans la concession de la paroisse catholique le Bienheureux Isidore Bakanja. Moses Maki Ferdinand

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Irumu-Chefferie de Baboa Bokoe : « mettons nos mains » dans la pâte, les Aides humanitaires n’ont jamais développer une société ( Sa Majesté Onyani Mbuzana )

Devant la presse le premier citoyen de la chefferie de Baboa Bokoe a appelé ses administrés au changement de mentalité et à l’amour du travail le seul secret de l’autonomisation et création des richesses pour cette chefferie. D’après Élisé Onyani Mbuzana les aides humanitaires ne doivent pas être placées à la première place lorsque, on veut une prospérité.  » je qualifie ceux-là qui réclament les aides humanitaires à des paresseux et des naïfs. Nous avons des sols fertiles, faisons agriculture pour notre autonomisation familiale et certes les productions vont inonder nos marchés locaux avec conséquences une réponse immédiate à l’autosuffisance alimentaire et élimination de faim dans la population, mais également un accroissement des revenus dans chaque ménage à lieu et place de tendre la main aux humanitaires qui ne peuvent pas venir quand l’on veut et amener quelques choses de durable  » a expliqué Onyani Mbuzana ce Lundi 27 janvier 2025 à Solenyama. Par ailleurs, il insiste sur la culture de paix et Concorde sur l’ensemble de sa chefferie.  » je voudrais que chacune des populations s’engage pour la paix, le vivre ensemble, la cohésion sociale et l’épanouissement pour que nous arrivions à accomplir nos devoirs de citoyens . Cet élan prôné par Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo président de la république démocratique du Congo et chef de l’Etat, appuyé par Johnny Luboya N’Kashama gouverneur militaire de l’Ituri tous travaille pour la paix l’unité et le développement de nos milieux respectifs. Il est temps pour que tous mettons en-avant les intérêts communs et disons non à la division moins encore les manipulations qui d’ailleurs n’apportent rien de bon ». A-t-il ajouté. Notons que le salongo de chaque Samedi est désormais de rigueur et de stricte observance dans la chefferie de Baboa Bokoe et la chefferie veut émerger davantage durant l’année 2025. Flori Drajiro

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Lac Albert : Même l’achat de « Permis de pêche » n’a pas épargné les pêcheurs de l’Ituri de « menaces » s’inquiète Uzunga Wathum

Dans une sortie médiatique du ce mercredi 15 janvier 2025, le Député Provincial Uzunga Wathum Moïse regrette le lourd poids que portent les pêcheurs du Lac Albert en province de l’Ituri. Selon ce dernier, les pêcheurs Ituriens sont victimes du matin au soir de saisi de leurs matériels par la Marine ougandaise, des pillages des poissons des pêcheurs par les éléments des forces navales FARDC a dénoncé Uzunga Wathum. Par ailleurs, cet élu de Djugu s’interroge  » où vas l’argent que payent les pêcheurs en achetant des permis de pêche ? Pourquoi les pêcheurs ne sont protégés et pris en valeur alors qu’ils gonflent la caisse de l’Etat ? Est-ce que la patrouille de combat faite par les forces navales FARDC signifie d’aller piller les poissons des pêcheurs ? Non c’est assez. Le ministre national en charge de la Pêche doit urgemment descendre en Ituri pour s’imprégner de la situation que traversent nos pêcheurs.  » A dit Uzunga Wathum Moïse. Notons que deux pêcheurs congolais de Muganga en territoire de Djugu ont été victimes de saisi de leurs matériels par la Marine Ougandaise. Flori Drajiro

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Ituri:Une « évaluation des activités » au coeur d’une rencontre des membres d’une Coopérative Agro-Pastorale avec une vision de rendre l’Irumu un levier agricole

LA COOPÉRATIVE AGRO-PASTORALE POUR LE DÉVELOPPEMENT DU CONGO S’ENGAGE À FAIRE D’IRUMU UN peu GRENIER DE LA PROVINCE DE L’ITURI. Ce lundi 14 janvier 2025, le *Centre Jérémie de Nyakunde* a accueilli une réunion stratégique majeure réunissant *30 groupements agricoles affiliés à la Coopérative Agro-pastorale pour le Développement du Congo (C.A.D.C),* basée à Marabo Centre. *L’objectif était d’évaluer les progrès réalisés depuis l’introduction d’un tracteur agricole offert par l’Honorable Professeur BUNGISHABAKU KATHO Robert en juillet 2024.* Cette initiative marque un tournant décisif pour le territoire d’Irumu, avec une ambition claire : *cultiver 250 hectares en 2025 et faire d’Irumu un véritable grenier provincial et un levier essentiel de développement et de sécurité alimentaire.* Ces réunions qui se dérouleront désormais deux fois l’an, permettront *un suivi rigoureux des performances,* ouvrant ainsi la voie à une agriculture moderne et durable. Irumu entre ainsi dans une ère de croissance prometteuse portée par l’engagement communautaire et l’innovation. CellCom

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Djugu : Des menaces CODECO pèsent sur la Chefferie de Bahema Badjere, l’implication du gouvernement provincial exigée

La chefferie des Bahema Badjere traverse des situations difficiles suite aux multiples menaces sécuritaires de CODECO. Une lecture en terme de l’évaluation sécuritaire faite par le chef coutumier de cette chefferie qui attire l’attention des autorités militaires. Les contrées comme Lenga, Dhedja et Lodzikpa nécessitent un renforcement de la présence des FARDC cela contribuera tant soit peu à maîtriser les incursions répétées de CODECO qui viennent du groupement Njaudha, Gokali, Linga et d’autres avec d’énormes dégâts sur les populations civiles. A dit le chef de cette Chefferie se confiant à carapacenews.net. Ces menaces sécuritaires de miliciens CODECO deviennent permanentes à ces jours sur les entités de la chefferie de Bahema Badjere a alerté le sa majesté et qui ciblent les sites de déplacés et les champs où ils détruisent les produits champêtres et parfois les massacres des civils dans leurs propres champs. Tout en appelle sa population à une vigilance en attendant le renforcement des effectifs militaires dans les zones. Notons que, plusieurs dialogues entre les entités voisines initiées par l’autorité territoriale, les organismes internationaux peinent à donner des résultats attendus. Ce qui nécessite un autre approche que doivent mettre en place les l’autorité territoriale et provinciale pour une stabilité sécuritaire durable et la cohésion sociale. Redaction

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Sankuru : trois morts enregistrés après une pluie diluvienne qui s’est abattue à Lodja

Trois personnes ont trouvé la mort à la suite d’une foudre qui a frappé l’après-midi de ce mardi 7 janvier 2025 à Lodja précisément au quartier Shapembe. D’après Monsieur Valaire Omatoko, chef de quartier Shapembe qui confirme l’information à RTNC. CD, cette catastrophe naturelle a frappé sur deux jeunes garçons d’une même famille et un papa d’une cinquantaine d’années:  » Deux jeunes garçons d’une même famille ont été frappés par la foudre pendant qu’ils étaient dans leur parcelle et l’autre d’une cinquantaine d’années a été lui aussi frappé par la même foudre pendant qu’il s’abritait contre la pluie dans la même parcelle  » a-t-il indiqué. D’autres sources renseignent que trois autres personnes ont été frappées dans le quartier Demba fundju. Ces dernières se trouvent au centre de santé où elles poursuivent leur traitement. Signalons plus de 8 personnes ont trouvé la morts dans les mêmes circonstances à l’intervalle de deux mois dans le centre ville de Lodja. Redaction

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