Développement

Administration, Développement, Politique, Société

Haut-Uele : Le Directeur Général de la DGRHU Jean Manda, plus que déterminé à maximiser les recettes provinciales

La Direction Générale des Recettes du Haut-Uele (DGRHU), plus que déterminée à mobiliser les recettes du trésor public provincial en 2025. Cette vision rentre dans la ligne droite des principaux piliers du Gouvernement provincial du Haut-Uele, dirigé par le Gouverneur Jean Bakomito Gambu et du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, visant essentiellement à mettre l’homme au centre de tout. C’est le ministre provincial des finances, Jacques Anzatepedanga qui a présidé la cérémonie au nom de l’Autorité provinciale ce vendredi 14 Mars 2025 à la résidence des Gouverneurs des provinces. Dans son mot d’ouverture, le ministre de tutelle a focalisé son message sur la planification des activités fiscales de l’exercice fiscal 2025 pour une mobilisation accrue des recettes avec les différents services d’assiettes du Haut-Uele. Selon lui, cette activité va permettre à la province d’entrer dans sa phase de recouvrement des recettes proprement dites et ce, en vue de booster son développement et sa reconstruction (de la province). Pour l’honorable Jean Manda, Directeur Général de la régie financière du Haut-Uele, il est temps que tous fils et filles de la province puissent mettre la main à la pâte pour pousser la province à aller de l’avant. Il estime cependant qu’avec la volonté politique du Gouverneur Jean Bakomito Gambu et la participation active des opérateurs économiques , considérés comme les premiers partenaires de la région, la province du Haut-Uele pourra aller de l’avant en dépit des difficultés liées notamment aux infrastructures routières dont elle fait face. Dans le même registre, Jean Manda réaffirme l’engagement de la Direction Générale des Recettes du Haut-Uele à accompagner le chef de l’exécutif provincial en vue d’atteindre le paroxysme de la mission assignée, tout en promettant de tout mettre en œuvre pour la maximisation des recettes au profit de la Province du Haut-Uele afin de contribuer à son émergence, a martelé Jean Manda, le patron de la DGRHU/Haut-Uele. Hilaire Kabadunga/Haut-Uele

Loading

Développement, Economie, Humanitaires, Sécurité, Société

Haut-Uele : Le Pont Nzoro reliant le territoire de Faradje au Watsa a cédé

Le pont Nzoro, qui enjambe la rivière éponyme dans la localité de Nzopi sur la route nationale numéro 26, reliant les territoires de Watsa et Faradje, s’est effondré dans la nuit du 13 au 14 février 2025 lors du passage d’un camion poids lourd surchargé. Depuis un certain temps, la Province du Haut-Uele fait face aux problèmes d’effondrement requièrent des différents ponts, ce qui rend la vie difficile dans le Chef-lieu de la province. Avant l’effondrement du pont de Nzoro, la province, et particulièrement le territoire de Watsa, avait déjà connu deux autres effondrements de différents ponts, notamment le pont de Bomokandi et celui de Kibali. Pour prévenir les cas récurrents d’effondrement des ponts, le Gouverneur de province, excellence Jean Bakomito avait formellement interdit la circulation des camions remorques sur l’ensemble du territoire de la province du Haut-Uele, et cet dernier cas survient après ces mesures prises par l’autorité provinciale. Notons que cette route était la seule voie pour approvisionner la ville d’Isiro en produits manufacturés, suite à l’effondrement du pont Bomokandi dans le territoire de Watsa, dont la reconstruction est en cours grâce aux efforts du Chef de l’exécutif provincial. Hilaire Kabadunga

Loading

Administration, Développement, Economie, Politique, Société

Haut-Uele : Le Gouverneur de Province, lance officiellement l’année fiscale et remet les assignations pour l’exercice 2025

Le Gouverneur de province de la province du haut-uele, l’excellence monsieur Jean Bakomito Gambu a officiellement lancé ce jeudi 13 février, l’année fiscale 2025, à la résidence officielle des gouverneurs, dans la province du Haut-Uele. Dans son allocution, Jean Bakomito Gambu a d’abord remercié l’Assemblée Provinciale qui lui a doté d’un édit, lequel est un outil de travail, un boussole pour pouvoir bien collecter les recettes mais aussi dépenser pour le programme quinquennal du gouvernement provincial, coulé dans cet édit pour l’exercice 2025.Il a par la suite remercié le ministre des finances, le DG de la DGRHU, la FEC, la FENAPEC, la société civile et tous les autres membres qui ont rendu possible le lancement de cette année fiscale. Cette autorité provinciale invite tous les contribuables à fournir un effort pour collecter davantage les moyens afin de poursuivre les visions du Chef de l’Etat, attendue par la population du Haut-Uele, particulièrement les routes.Le gouvernement provincial s’est engagé à réhabilité les routes dans plus ou moins huit axes à travers la province, y compris la ville d’Isiro, qui attend la première phase d’asphalte d’ici la quinzaine de mois d’avril, sans oublier le projet Agricole où il y a déjà 100 hectares pour le café. Ces divers projets nécessitent des moyens conséquents. C’est pourquoi l’on doit collecter des recettes pour pouvoir répondre positivement aux objectifs fixés par les élus provincaux à travers le budget, a déclaré le numéro un de la province. Cette cérémonie de plus ou moins une heure Trente minutes a eu lieu à la résidence officielle des gouverneurs en présence de la représentante du président de l’Assemblée Provinciale, des ministres provinciaux, des responsables de chefs de différents services d’assiette ainsi que la synergie de la société civile. Il sied de signaler que le mécanisme de suivi d’évaluation financière est envisagé pour cadrer cette démarche. Hilaire Kabadunga

Loading

Administration, Développement, Société

Haut-Uélé: La Division Provinciale de Transvcom vers l’Optimisation des Recettes Publiques

Une délégation dirigée par le Chef de la Division provinciale de Transport voies des communications et désenclavement a été déployée dans trois territoires de la Province du Haut-Uélé. Cette mission vise à dresser un état des lieux des infrastructures de transport et à établir des mécanismes efficaces pour maximiser les recettes dans ce secteur crucial. Selon le Chef de la Division Provinciale de Transports voies communications et désenclavement, les revenus générés par ce secteur ont connu une baisse significative. Cette situation est attribuée à l’absence de certains postes de contrôle à l’existence de postes jugés non essentiels, ainsi qu’à des pratiques illicites entraînant un coulage des recettes publiques. Dans ce contexte, Albert Aboguone Soronga a encouragé les agents et cadres de ce service de l’État à faire preuve de détermination afin d’optimiser les recettes publiques. Cependant, le Chef de Division a exprimé ses préoccupations concernant les comportements inappropriés de certains agents affectés aux divers postes de contrôle, qui engendrent des tracasseries routières et contribuent au détournement des recettes. Il a ainsi procédé à l’identification des cas problématiques, dans le but de supprimer les postes de contrôle non essentiels et d’en établir de nouveaux, en accord avec l’appréciation du Gouverneur de Province, afin de favoriser la maximisation des recettes. En ce qui concerne le territoire de Faradje, où le service de Transvcom peine à atteindre ses objectifs, le Chef de Division a exhorté ses agents à donner le meilleur d’eux-mêmes, tout en tenant compte des défis à soumettre à l’autorité provinciale pour trouver des solutions durables. Albert Aboguone Soronga a également appelé tous les conducteurs de véhicules à se préparer à acquérir les documents de bord ainsi que le Permis de conduire. Le coût du Permis de conduire pour les motocyclistes fixé à 16 dollars, tandis que celui pour les conducteurs de véhicules s’élève à 26 dollars, conformément à l’édit budgétaire en vigueur. Lors d’une séance de travail et de remise à niveau organisée le samedi 8 février 2025 au chef-lieu du territoire de Faradje, la question de la non-rémunération de certains agents par l’État congolais a été soulevée. Le Chef de Division a promis de transmettre toutes ces réclamations aux autorités compétentes avant de poursuivre sa mission dans le Territoire de Dungu. À Noter que, la présente démarche s’inscrit dans un objectif plus large :  » mobiliser les recettes nécessaires pour fournir les moyens adéquats à l’exécutif provincial, dirigé par le Gouverneur Jean Bakomito Gambu, afin de mettre en œuvre sa politique en faveur du bien-être de la population » conformément à la vision du Chef de l’État, Félix Tshisekedi Tshilombo. Hilaire Kabadunga depuis la Ville d’Isiro

Loading

Développement, International, Politique, Sécurité, Société

Tanzanie: Sommet conjoint EAC-SADC voici les grandes lignes

Les chefs d’État et des Gouvernements de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) et de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC) se sont réunis lors d’un sommet conjoint historique à Tanzanie. L’objectif principal de cette rencontre était de renforcer la coopération régionale et d’intensifier les efforts en faveur de la paix et de la stabilité dans la région. Ce sommet a marqué une étape clé dans l’intégration entre ces deux organisations régionales majeures d’Afrique. Les discussions ont porté sur plusieurs sujets cruciaux, notamment la gestion des conflits, la libre circulation des personnes et des biens, ainsi que le développement économique commun. Dans leur communiqué final, les dirigeants ont réaffirmé leur engagement à renforcer les initiatives existantes, notamment la coordination des efforts pour la résolution des crises en cours. La situation sécuritaire dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC) a été un sujet central des discussions, avec une volonté affichée de renforcer les opérations conjointes pour rétablir la stabilité. Les chefs d’État ont annoncé plusieurs mesures concrètes pour améliorer la coordination entre l’EAC et la SADC. Parmi celles-ci, la mise en place d’un mécanisme conjoint de surveillance des conflits, visant à assurer une meilleure coopération en matière de sécurité. De plus, des stratégies pour dynamiser le commerce interrégional ont été mises en avant, notamment la réduction des barrières tarifaires et la facilitation des investissements transfrontaliers. Le sommet a également souligné l’importance de projets d’infrastructure partagés, tels que le développement de corridors de transport reliant les États membres des deux organisations. Cela vise à améliorer la connectivité et à stimuler la croissance économique. Au-delà des aspects économiques et sécuritaires, cette rencontre a mis en avant une volonté politique commune d’approfondir l’intégration africaine. Les chefs d’État ont insisté sur la nécessité d’un dialogue inclusif et de solutions africaines aux défis du continent. Ce sommet conjoint s’inscrit dans une dynamique plus large de renforcement des liens entre les organisations régionales africaines, conformément aux objectifs de l’Union africaine. Il témoigne d’une ambition grandissante d’accélérer l’agenda 2063, visant une Afrique prospère, pacifique et intégrée. Les résolutions adoptées lors du sommet seront suivies par la mise en place de comités de suivi chargés de garantir la mise en œuvre des engagements pris. Les prochaines rencontres régionales devraient permettre d’évaluer les progrès réalisés et d’ajuster les stratégies en fonction des défis à venir. Avec cet engagement renouvelé, l’EAC et la SADC envoient un message fort : la coopération régionale est essentielle pour assurer un avenir stable et prospère aux populations de l’Afrique de l’Est et australe Redaction

Loading

Administration, Développement, Economie, Environnement, Justice, Sécurité, Société

Sur Le Lac Albert: Un Feu ardent brûle entre l’équipe de « l’Unité de Surveillance » et le Comandant de 332 ème Base Navale

Plusieurs accusations portées à l’encontre du Lieutenant Colonel Ekofo Bolombo Chico par l’association des pêcheurs et d’autres organisations locales vivant dans le long des Zones du Lac Albert. La toute première lettre de Fédération des pêcheurs du Lac Albert sur les questions préoccupantes que traversent les pêcheurs depuis quelques temps appelant l’attention du gouverneur militaire le lieutenant général Johnny Luboya N’Kashama. Laquelle correspondance du 26 janvier 2025 N⁰01/BUR/FECOPELA/L.A/01/2025 A-t-on lu carapacenews.net  » nous vous adressons notre inquiétude sur les abus liés à la pêche illicite qui sévit sur le Lac Albert. Cette problématique représente non seulement une menace pour la biodiversité du Lac mais un moyen de subsistance des communautés riveraines, une situation qui nous inquiète au plus haut niveau et nous pousse à condamner l’implication négative de certains éléments de force navale dans la réglementation de pêche et leur implication directe dans la pratique de pêche prohibée… » écrit Fecopela À préciser  » depuis l’arrivée du nouveau Commandant de 332ème Base navale de l’Ituri, nous avons toujours manifesté notre bonne foi de la gestion commune du lac Albert en lui proposant de multiplier des rencontres avec tous les membres parties prenantes malheureusement cette force navale prend des décisions unilatérales qui pourraient nuire à la durabilité de nos ressources du lac Albert. Des rencontres qui pourraient être des occasions d’échanger des points cruciaux pour préserver nos ressources halieutiques ». :À lire aussi : Ces deux (2) derniers mois le Commandant de la force navale a choisi travailler seul en écartant tous les membres des parties prenantes, nous avons constaté une forte augmentation de nombre de filet moustiquaires des éléments de la force navale et de leurs amis sur le lac Albert. Nous avons aussi constaté l’augmentation des éléments de la force navale qui collectent de l’argent appelé << de semaine >> et des poissons auprès des pêcheurs sur le lac Albert et de son littoral pour encourager la pêche prohibée. Pendant ce temps, plusieurs filets moustiquaires qui avaient été arrêtés ont été restitués à leurs propriétaires moyennant l’argent  » s’inquiète Fecopela. Pour ajouter  » il est inacceptable que les éléments de la force navale en patrouille de combat se transforme sur le Lac en patrouilleurs de la réglementation de pêche protégeant leurs collègues militaires et leurs amis pratiquants la pêche prohibée aux filets moustiquaires. Tandis qu’ils arrêtent les civils sans défense. Pire encore, ceux qui sont en conflit avec leur comandant et à retard de payement de 40000 FC par barque frais d’autorisation des filets prohibés sur le lac. Alors qu’il y a l’inaction de leur part sur la présence des bandits qui volent chaque fois les moteurs hors-bord moins encore pendant la menace quotidienne de la Marine ougandaise sur nos pêcheurs congolais. :À lire aussi: Nous sollicitons : Prise en otage de l’unité provinciale de surveillance par le commandant a.i de 332ème base navale du lac Albert le Ekofo Bolombo lieutenant-colonel  » il a été peu avant le commandant de la flottille basée à Mahagi port et a toujours obstrué les activités de l’unité de surveillance pour son propre compte. Aujourd’hui la pêche aux lampes sont visibles sur le lac à lieu et place de la surveillance comme dit l’arrêté créant cette structure. Il a toujours collecté de l’argent auprès de ceux qui pratiquent la pêche prohibée malgré nos dénonciations. Par ailleurs, il est constaté qu’une autre lettre a été cette fois là écrite au VPM de la défense nationale et des anciens combattants pour son intervention immédiate sur ce qui se produit sur le lac Albert par la volonté manifeste des éléments de la force navale. Des révélations accablantes signalées dans cette correspondance  » la force navale s’est transformée sur le lac Albert aux hommes sans-coeur qui extorque les biens des civils et pillages excessifs des poissons des pêcheurs, la saisie illégale des matériels de pêche , le détournement des matériels saisis, l’interdiction de la patrouille imposée à l’unité de surveillance. En outre, au regard de tout se qui se dit, notre redaction centrale en parcourant les correspondances des deux parties opposées. L’on se demande si qui mérite mieux parmi les deux camps? Alors que l’un accuse l’autre et vice-versa. On pourrait certainement attendre des solutions idoines auprès des autorités hiérarchiques pour le retour de paix et harmonie sur la gestion des ressources halieutiques de lac Albert. Notons que, pour sa part le commandant de la 332ème base navale à son tour a accusé le coordonnateur de l’unité de surveillance travaillant à un roi et maître d’un électron libre octroyant l’autorisation aux pêcheurs de faire la pêche prohibée. Une allégation rejetée par Avotsia et qui pointe du doigt la force navale d’être à la base de tous les dérapages, antivaleur, pillages et non-respect des textes légaux. Un dossier à suivre Flori Drajiro

Loading

Administration, Culture, Développement, Education, Humanitaires, Politique, Société

Irumu-Chefferie de Baboa Bokoe : « mettons nos mains » dans la pâte, les Aides humanitaires n’ont jamais développer une société ( Sa Majesté Onyani Mbuzana )

Devant la presse le premier citoyen de la chefferie de Baboa Bokoe a appelé ses administrés au changement de mentalité et à l’amour du travail le seul secret de l’autonomisation et création des richesses pour cette chefferie. D’après Élisé Onyani Mbuzana les aides humanitaires ne doivent pas être placées à la première place lorsque, on veut une prospérité.  » je qualifie ceux-là qui réclament les aides humanitaires à des paresseux et des naïfs. Nous avons des sols fertiles, faisons agriculture pour notre autonomisation familiale et certes les productions vont inonder nos marchés locaux avec conséquences une réponse immédiate à l’autosuffisance alimentaire et élimination de faim dans la population, mais également un accroissement des revenus dans chaque ménage à lieu et place de tendre la main aux humanitaires qui ne peuvent pas venir quand l’on veut et amener quelques choses de durable  » a expliqué Onyani Mbuzana ce Lundi 27 janvier 2025 à Solenyama. Par ailleurs, il insiste sur la culture de paix et Concorde sur l’ensemble de sa chefferie.  » je voudrais que chacune des populations s’engage pour la paix, le vivre ensemble, la cohésion sociale et l’épanouissement pour que nous arrivions à accomplir nos devoirs de citoyens . Cet élan prôné par Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo président de la république démocratique du Congo et chef de l’Etat, appuyé par Johnny Luboya N’Kashama gouverneur militaire de l’Ituri tous travaille pour la paix l’unité et le développement de nos milieux respectifs. Il est temps pour que tous mettons en-avant les intérêts communs et disons non à la division moins encore les manipulations qui d’ailleurs n’apportent rien de bon ». A-t-il ajouté. Notons que le salongo de chaque Samedi est désormais de rigueur et de stricte observance dans la chefferie de Baboa Bokoe et la chefferie veut émerger davantage durant l’année 2025. Flori Drajiro

Loading

Administration, Culture, Développement, Economie, Education, Humanitaires, Non classé, Société

Ituri:Une « évaluation des activités » au coeur d’une rencontre des membres d’une Coopérative Agro-Pastorale avec une vision de rendre l’Irumu un levier agricole

LA COOPÉRATIVE AGRO-PASTORALE POUR LE DÉVELOPPEMENT DU CONGO S’ENGAGE À FAIRE D’IRUMU UN peu GRENIER DE LA PROVINCE DE L’ITURI. Ce lundi 14 janvier 2025, le *Centre Jérémie de Nyakunde* a accueilli une réunion stratégique majeure réunissant *30 groupements agricoles affiliés à la Coopérative Agro-pastorale pour le Développement du Congo (C.A.D.C),* basée à Marabo Centre. *L’objectif était d’évaluer les progrès réalisés depuis l’introduction d’un tracteur agricole offert par l’Honorable Professeur BUNGISHABAKU KATHO Robert en juillet 2024.* Cette initiative marque un tournant décisif pour le territoire d’Irumu, avec une ambition claire : *cultiver 250 hectares en 2025 et faire d’Irumu un véritable grenier provincial et un levier essentiel de développement et de sécurité alimentaire.* Ces réunions qui se dérouleront désormais deux fois l’an, permettront *un suivi rigoureux des performances,* ouvrant ainsi la voie à une agriculture moderne et durable. Irumu entre ainsi dans une ère de croissance prometteuse portée par l’engagement communautaire et l’innovation. CellCom

Loading

Administration, Culture, Développement, Politique, Religion, Sécurité, Société

Ituri sous un Colloque d’éveil Patriotique: La RAD invite tous, les étudiants, les jeunes, les confessions religieuses, les leaders de groupes armés… à venir

Sous le haut patronage du commandant suprême des Forces armées de la république démocratique du Congo ( FARDC) Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo le Chef de l’Etat la RAD organise trois journées d’échanges à Bunia chef-lieu de la province de l’Ituri. D’après le colonel Emanuel Libandi chargé des relations civilo-militaire et d’éveil patriotique, c’est un nouvel air pour le retour de paix en Ituri.  » Nous avons le patrimoine commun c’est la RDCONGO, tous mobilisons- nous pour la défense de la Patrie. Arrêtons de nous entretuer entre nous fils et filles de l’Ituri. Le sang a déjà trop coulé dans cette province sans aucune raison valable. C’est ainsi que le chef de l’Etat nous a envoyé pour sensibiliser les jeunes << Espoir de la patrie >> et les groupes armés à venir rejoindre la RAD pour contribuer au côté des FARDC car la patrie est menacée par la rébellion M23, RDF- AFC  » a précisé le colonel Emanuel Libandi. Pour ajouter  » ce colloque d’éveil patriotique aura lieu à Bunia à date du 16 janvier dans la grande salle Rehema plaza avec les éminents orateurs notamment le lieutenant général Johnny Luboya N’Kashama gouverneur militaire de l’Ituri, Le professeur Jean Simba recteur de l’université de Bunia, le révérend Jams Biensi, et Eugénie la coordinatrice a.i du conseil provincial de la jeunesse Iturienne. Alors que la deuxième journée se poursuivra au niveau de l’église Armés du Seigneur . Cette journée également connaitre une série des activités sous l’intervention du révérend pasteur Beching Banga Bahemuka et tant d’autres.  » a-t-il ajouté. Il sied de signaler que, le colloque d’éveil patriotique pour la paix en Ituri se déroulera sous le thème  » Union des esprits créatifs face aux systèmes innovateurs pour la paix et fin des guerres en Ituri «  Flori Drajiro

Loading

Administration, Culture, Développement, Education, Religion, Société

Bunia: Paroisse Saint Martin de Tours lance un appel aux Bienfaiteurs

La Paroisse militaire Saint Martin de Tours, relevant de l’Aumônerie Catholique Militaire , lance un appel pressant aux bienfaiteurs. Située à Camp Ndoromo, dans la ville de Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri, cette paroisse est actuellement en pleine phase de construction. Le Révérend Abbé Lieutenant Olivier Canuroma, responsable de cette paroisse, a souligné que, bien que les travaux progressent de manière satisfaisante, les besoins demeurent considérables. « Nous avons déjà achevé l’élévation des murs, mais il nous faut des ressources pour poursuivre les travaux de toiture. C’est pourquoi nous sollicitons l’aide financière ou matérielle de toute personne, groupe, association ou organisation qui pourrait nous soutenir dans cette entreprise », a-t-il déclaré. La Paroisse Saint Martin de Tours représente une importante communauté catholique militaire au sein de la 32ème région militaire, englobant l’Ituri et la province du Haut-Uélé. Au sein du Diocèse de Bunia, elle est composée de huit secteurs pastoraux, englobant divers régiments et unités des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), tels que Kasenyi, Mongwalu et Masumbuko etc. Nous vous invitons donc à répondre à cet appel et à contribuer à l’édification de ce lieu de culte d’une part et la réfection de la résidence des prêtres, pour être tout près de la communauté militaire et ses dépendants. A poursuivi l’abbé Olivier Canuroma Il sied de signaler que la création de la Paroisse militaire Saint Martin de Tours est contenue dans le décret portant Érection de l’aumônerie Militaire Catholique de Bunia N⁰005/DB/UUD/EV/0624 signé par Monseigneur Dieudonné Uringi évêque de Bunia. Flori Drajiro

Loading

Retour en haut