2 décembre 2024

Culture, Page noire, Portrait

Hommage à Dieudonné Lubanga Ivandra : Un Pèlerinage Éternel de Souvenirs

Un père unique, un homme aux multiples vertusDieudonné Lubanga Ivandra, tu étais bien plus qu’un simple père ; tu étais un phare illuminant nos existences, un cœur vibrant au rythme des étoiles. Ton sourire, éclatant comme le soleil, avait le pouvoir d’éclairer nos journées les plus sombres. En tant que père respectueux, autoritaire et responsable, tu as su nous offrir le meilleur de toi-même, nous inculquant des valeurs inestimables. Une perte incommensurableLe 3 décembre 2020, à 3 heures du matin, la faucheuse t’a arraché à notre affection, laissant derrière elle un vide abyssal. Ta mort, survenue après une courte mais pénible maladie de seulement vingt jours, a brisé nos cœurs à jamais. Depuis ce jour tragique, notre mère, Jeannette Tsesi, demeure une veuve inconsolable, et nous, tes enfants, avons dû porter le lourd fardeau du terme « orphelins ». Quelle tragédie ! Quelle douleur ! Nos enfants, tes petits-enfants, naîtront sans jamais connaître la tendresse de leur grand-père. Un héritage indélébileQuatre ans se sont écoulés depuis ton départ, mais ton souvenir reste gravé dans nos âmes. Ton amour, tel un phare dans la nuit, continue de nous guider. Tu étais un homme de cœur, un lion dans l’adversité, et un agneau de paix. Avec sagesse et force, tu bâtissais l’avenir, nous montrant le chemin du bonheur par ta voix douce et rassurante. Les leçons d’un sageTa rigueur et ta droiture étaient les véritables balises d’une vie réussie. Tu savais nous aimer inconditionnellement, nous enseignant l’importance du travail bien fait et la haine de la paresse. « Un jour, tu ne seras pas avec nous », disais-tu, un avertissement que nous n’avons jamais voulu entendre. Tes paroles résonnent encore : « Savoir endurer et transformer positivement la société », un appel à l’action qui nous reste cher. Une foi inébranlableTa ferveur pour Dieu était contagieuse. Ensemble, nous récitions le rosaire, tissant un fil d’amour qui unissait nos cœurs vers les cieux. Papa, ton souvenir est gravé en moi comme une étoile brillante dans l’obscurité. Je m’engage à porter tes valeurs avec fierté tout au long de ma vie. Un rendez-vous éternelUn jour, nous nous retrouverons dans les jardins du paradis, où l’éternité nous réunira. Merci pour tout, Papa. Ton amour est ma lumière, et je t’aime plus que les mots ne sauraient l’exprimer. Hommage à toi, Papa !Repose en paix, dans la sérénité éternelle que tu mérites.

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Assemblée nationale : cette précision de Député Floribert Ndjabu sur « l’évolution du traitement de rapport » de la réévaluation de l’Etat de siège en Ituri et au Nord-Kivu

Le député national Floribert Ndjabu Ngabu élu de la circonscription électorale de Djugu et Président du Caucus des parlementaires de l’Ituri a précisé le déroulement des travaux qui se font sur l’exploitation des désidératas exprimés par les couches sociopolitiques à Goma et de Bunia lors de la récente mission d’une réévaluation de l’Etat de siège conduite par Judith Suminwa Tuluka la Première ministre. D’entrée de jeu, l’élu de Djugu révèle sans hésitation qu’une autre rencontre des parlementaires de la chambre basse est prévue pour ce Lundi 2 décembre 2024 laquelle rencontre mettra des points sur les i à propos de rapport produit lors de la réévaluation de l’Etat de siège à Goma et à Bunia avant qu’il soit définitivement déposé au chef de l’Etat qui doit nécessairement se prononcer sur l’avenir de l’Etat de siège en Ituri et au Nord-Kivu et cela avant la clôture officielle de la session de septembre prévue pour mi-décembre. A expliqué Floribert Ndjabu Ngabu dans une exclusivité accordée à carapacenews.net En soulignant, le contenu de ce rapport formulé par les forces vives, les politiques et autres voix dans les deux provinces dont l’Ituri et Nord-Kivu qui attendent vivement la levée de l’État de siège pour que l’armée se focalise rien que sur la défense de la patrie et de la protection des civils, laissant la gestion administrative et politique aux civils. Cependant, ce digne fils de Djugu est profondément inquiété de la misère aigüe constatée en Ituri dans la défectuosité des routes de dessertes agricoles et de l’insécurité alimentaire.  » nous avons beaucoup regretté l’Ituri, une province en vocation agricole, pastorale et minière dépendant en plus grande majorité aujourd’hui des produits alimentaires, importés alors que nous avons des sols fertiles. Notre économie doit être compétitive même si nous appartenons à la communauté économique des États d’Afrique de l’Est, hormis nos minerais et le café nous devons également leur exporter beaucoup d’autres de nos produits agricoles. Raison pour laquelle nous allons interpeller les ministres sectoriels d’agriculture, de l’infrastructure travaux publics et celui du développement rural qui n’ont pas intégré jusqu’à présent la province de l’Ituri parmi les priorités gouvernementales  » a-t-il ajouté. Notons que plusieurs routes dont la RN27 et les routes de dessertes agricoles sont très dégradées et les agriculteurs ne sont pas accompagnés ce qui laisse place à une insécurité alimentaire et même sociale alors que s’il y avait un accompagnement de la part du gouvernement central ça pouvait non seulement réinsérer les groupes armés à avoir accès à une activité génératrice des revenus mais ça pouvait arrêter les violences armées en Province de l’Ituri y compris l’accroissement de son économie. Flori Drajiro

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