17 novembre 2024

Administration, Développement, Economie, Humanitaires, International, Politique, Sécurité, Société

International: la rencontre interparlement RDC-Ouganda à Kampala, plusieurs questions résolues

La rencontre à Kampala entre une délégation des députés nationaux de la RDC avec les parlementaires Ougandais s’est déroulé en toute bonté. Cette révélation faite ce dimanche le 17 novembre 2024 par le député national Byaruhanga Uthike Moïse membre de la délégation congolaise, vient couper court aux rumeurs devenues virales sur la toile depuis quelques jours, lesquelles rumeurs taillées par certaines personnes malintentionnées mettant en doute le déroulement des assises entre les élus nationaux et ceux de pays de Museven. Par ailleurs, leurs échanges ont été bénéfiques non seulement pour la RDC mais également pour le pays de Yoeri Museven. Pour le cas précis, ces échanges ont tourné sur les questions de la coopération Congo-Ouganda, les questions sécuritaires, économiques et le développement. Ce n’est pas tout il ya eu par cette occasion une voix forte levée par l’élu de Djugu Byaruhanga Uthike Moïse qui a dénoncé l’arrestation à répétition des pêcheurs congolais sur le Lac Albert par la Marine Ougandaise et la saisie des leurs matériels comme les moteurs hors-bord et les navires. Ce qui a permis à la partie Ougandaise de prendre acte de cette dénonciation formulée par le député national Byaruhanga Uthike suite à laquelle 200 Pirogues et 250 moteurs saisis seront remis aux pêcheurs propriétaires Congolais au terme d’une démarche déjà amorcée. A confirmé le député national Byaruhanga Uthike Moïse dans une exclusivité accordée à carapacenews.net. En outre, l’histoire retiendra que, l’Ituri a été représentée dans cette délégation des parlementaires congolais avec la présence de ses quatre (4) élus parmi les dix deputes nationaux venus de la RDC dont: Notons que c’est sur un ordre de mission signé par le docteur honorable Vital Kamerhe Président de l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo que cette mission a été confiée aux dix (10) Députés nationaux et un conseiller de cabinet de l’assemblée nationale sous la conduite de député national Mende Omalanga et ancien porte-parole du gouvernement congolais. Flori Drajiro

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Administration, Culture, Développement, Humanitaires, Infrastructures, Sécurité, Société

Haut-Uélé : L’axe Isiro-Dungu, un véritable calvaire

La province du Haut-Uele est devenue un véritable enfer pour ses habitants. Actuellement, il faut compter dix heures et trente minutes pour parcourir l’axe Isiro-Dungu, une route qui demeure impraticable depuis un certain temps. Ce cri d’alarme a été lancé le samedi 16 novembre 2024 par Monseigneur Émile Mushosho, évêque de Dungu-Doruma. qui regagnait son diocèse après avoir assisté à la cérémonie de prise de possession canonique de Monseigneur Dieudonné Madrapile à la cathédrale d’Isiro. Accompagné de Monseigneur Martin Banga, évêque du diocèse de Buta, ces dignitaires religieux ont rencontré d’importantes difficultés, allant jusqu’à se déplacer à moto pour atteindre le territoire de Dungu. Dans son message, Mgr Émile Mushosho appelle de manière urgente à l’implication des autorités provinciales afin de dépêcher des engins pour réhabiliter cet axe routier. Il souligne que la population subit quotidiennement des douleurs physiques en raison des conditions de circulation déplorables. L’impraticabilité des routes a également des répercussions négatives sur la vie économique et sociale des habitants. Rappelons que, de nombreuses voix s’élèvent aujourd’hui, notamment celles des commerçants et autres usagers, pour dénoncer le mauvais état des routes menant à la ville d’Isiro. Pourtant, le gouvernement provincial du Haut-Uele semble rester sourd à ce problème persistant, laissant la population dans une situation de détresse croissante. redaction

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Administration, Education, Justice, Politique, Société

RDC: Clôture des États généraux de la Justice à Kinshasa

Ce samedi, à Kinshasa, le Président Félix Tshisekedi a procédé à la clôture des États généraux de la Justice, qu’il avait inaugurés le 6 novembre dernier. Au terme de ces assises, 359 résolutions ont été adoptées. « L’histoire jugera sévèrement ceux qui trahiront ces engagements de la Justice au service du peuple », a affirmé le Chef de l’État. Parmi les décisions phares, le rapporteur des travaux, l’avocat Aimé Kilolo, a évoqué la création d’une conférence des procureurs, la protection des avocats, l’établissement d’un statut particulier pour les greffiers, la réforme de la justice militaire, ainsi que l’adoption de la double nationalité sous certaines conditions. De plus, une loi de compétence universelle a été proposée pour poursuivre tous ceux qui commettent des crimes contre la République Démocratique du Congo. Dans son discours de clôture, le Président Tshisekedi a souligné la nécessité d’« une justice qui protège les droits de tous », tout en appelant à la révision des cadres législatifs en matière de justice, à la formation continue des magistrats, ainsi qu’à une lutte acharnée contre la corruption. Il a également insisté sur l’importance de rendre les décisions de justice dans les délais légaux. Initiateur de ces travaux, le ministre d’État chargé de la Justice, Constant Mutamba, a présenté plusieurs options pour repenser le système judiciaire congolais. Parmi celles-ci figurent la révocation des magistrats et greffiers véreux, la radiation à vie des avocats coupables de fautes professionnelles graves, et le remplacement du Conseil supérieur de la magistrature par un Conseil de la Justice. Ces États généraux ont réuni 3 500 délégués issus de tous les secteurs de la vie nationale, autour du thème : « Pourquoi la justice congolaise est-elle qualifiée de malade ? Quelle thérapie face à cette maladie ? » Cette rencontre marque une étape cruciale dans la quête d’une justice plus équitable et efficace en République Démocratique du Congo. redaction

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